« Je suis le leader du Sud et donc le Sud fait partie de mes priorités. Amener le Sud en Europe signifie amener les revendications de ces territoires où, à travers des politiques communautaires, il est possible de défendre le travail de centaines d’administrateurs qui luttent quotidiennement pour leurs communautés respectives pour créer des opportunités d’emploi et de croissance. Nous avons compris que le Sud n’est pas une priorité pour notre gouvernement. L’un des rares administrateurs, sinon le seul, à avoir senti cette dérive et à agir comme un bouclier pour éviter que le pays ne soit divisé en deux, est le président de la Région, Vincenzo De Luca”. Le secrétaire national du PSI et tête de liste du Sud dans la liste des États-Unis d’Europe, Enzo Maraio, l’a déclaré lors d’un entretien avec Salerno Today.
« Et la Région Campanie – a-t-il ajouté – est celle qui a le mieux su investir les ressources européennes, offrant de réelles opportunités de croissance à notre territoire. Ici, nous devons, en Europe, renforcer l’esprit de cette bataille et trouver le système qui empêchera le Sud de s’abandonner à lui-même. C’est-à-dire éviter que les choix de nos territoires soient faits d’en haut, sans aucune connaissance des lieux. Et donc, pour répondre à votre question les thèmes sont : un non clair à l’autonomie différenciée, non aux primes inutiles accordées par le gouvernement avant les élections, certainement favorables aux investissements en infrastructures avec une vision stratégique pour le développement du Sud, au service de la croissance de « l’Italie et l’Europe dans le contexte méditerranéen » a conclu Maraio.
