le choix. Ce que nous savons

Entraîneur de Milan : ce que l’on sait

Le nom n’est pas encore là mais le profil recherché est clair et défini: jeune, international, avec une proposition de jeu moderne, capable de travailler en équipe avec la zone technique du club. Milan cherche un entraîneur pour la saison prochaine, étant donné que l’aventure de Stefano Pioli après quatre ans et demi (et un championnat) semble terminée, mais que sait-on vraiment jusqu’à présent ? Que se passe-t-il? Avec quels délais ? Et surtout, qui sera-ce ?

Beaucoup a été dit, beaucoup a été écrit, mais le véritable scénario est le suivant : pour le moment, aucun choix définitif n’a été fait. Ce n’est donc pas vrai que l’entraîneur a été choisi et il suffit de l’annoncer. Le board (Cardinale, Furlani, Moncada, le super consultant Ibrahimovic) n’entend pas se précipiter et prendra tout son temps, sachant que le choix est délicat. Le temps ne manque pas, même si ce n’est pas beaucoup. Maintenant, il faut resserrer.

Pioli : pourquoi Milan ne parle pas

Mais avant tout, le contrat de Pioli doit être résolu. qui n’expirera que dans un an, le 30 juin 2025. Il faut donc d’abord trouver un accord avec lui et son nombreux staff : ils ont affaire à une somme importante, autour de 10 millions de salaires et d’impôts, ce n’est pas un détail , plutôt l’inverse. Le silence médiatique de Milan sur l’avenir du banc est motivé par celaainsi qu’une forme de respect envers un entraîneur qui a très bien réussi ces dernières années et qui terminera à la deuxième place cette saison. La vérité est qu’en fait il serait resté jusqu’à la fin du contrat, si la situation ne s’était pas aggravée. le mois dernier entre l’élimination de la Ligue Europa et un énième cauchemar de derby.

Toutefois, force est de constater que des réflexions et des éclairages sur la succession sont à l’ordre du jour. Il n’y a pas de grand joueur dans l’esprit de Milan. Ce ne sera donc pas Antonio Conte, le favori des fans, mais considéré comme non fonctionnel au projet par les gestionnaires. À ce jour, le profil de Conceicao de Porto est l’un des plus chauds, avec celui d’un autre Portugais, Fonseca, quittant Lille. Thiago Motta reste très apprécié, mais difficile à atteindre : la Juventus a l’avantage s’il quitte réellement Bologne désormais qualifiée pour la Ligue des Champions. Gallardo, ancien River, désormais libéré d’Al Ittihad, ne convainc pas : il n’a jamais entraîné en Europe.

Lopetegui n’avait pas convaincu depuis avant la contestation sociale

Dans ce scénario, méfiez-vous des procureurs : ce sont souvent eux qui propagent les rumeurs. Lopetegui était l’un des profils examinés, avec beaucoup d’autres, mais il n’a pas convaincu même avant la protestation sociale des supporters. quand son nom est sorti. En fait, nous n’étions jamais allés au-delà de quelques conversations : pas d’avant-contrat, rien de tout cela. En fait, il a ensuite été abandonné, sans regret. De Zerbi, Italien, qui a grandi à Milan, maintenant à Brighton, répondrait à de nombreuses exigences. Mais pour le libérer du club Premier, il faut 15 millions. La position de Milan est actuellement claire : les entraîneurs ne sont pas des joueurs, ils ne s’achètent pas.

Farioli vers l’Ajax, Sarri n’a jamais contacté

Farioli, également italien, ancien collaborateur de De Zerbi, Considéré comme un bébé prodige sur le banc, il quittera probablement Nice pour l’Ajax. Un profil très apprécié, presque idéal, s’il avait quand même acquis, disons, une expérience intermédiaire. En bref : les chemins pourraient se croiser à l’avenir.

On a parlé de Sarri, mais il n’a jamais été contacté. Âge et particularités différents des idées des Rossoneri. De Milan, qui continuera à travailler en coulisses jusqu’à la fin du championnat, donc pour encore quelques semaines, il est clair que la liste n’est pas du tout fermée : ce sont des journées très chaudes, le risque des bancs donne toujours de nouvelles connexions, donc de nouveaux dossiers pourraient émerger.

Le marché des joueurs

Mais entre-temps, le marché des joueurs évolue déjà : Sesko de Leipzig en pole pour le rôle d’avant-centre. Choisir l’attaquant sans avoir l’entraîneur ? Oui, parce que c’est comme ça que ça se passe : les joueurs sont la richesse du club et donc le club doit les choisir. L’époque de la liste de courses pour un technicien qui reste ensuite peut-être un an est révolue, c’était un autre monde et un autre football, aujourd’hui l’entraîneur se voit confier la tâche managériale de tirer le meilleur parti du matériel humain à sa disposition, en donnant évidemment ses propres indications, ses propres suggestions. Parce que les entraîneurs partent et les clubs restent. C’est ainsi que fonctionne le football moderne.

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