Deuxième rencontre guitare et mandoline le vendredi 17 mai – VareseInLuce.it

Deuxième rencontre guitare et mandoline le vendredi 17 mai – VareseInLuce.it
Deuxième rencontre guitare et mandoline le vendredi 17 mai – VareseInLuce.it

Le vendredi 17 mai à 21h00, à la Sala Tramogge dei Molini Marzoli de via Molino, aura lieu le deuxième rendez-vous de la XXXIXe édition du Festival International de Guitare Bustese, avec la participation de la jeune guitariste Greta Fisler.

Née en 1999, Greta s’est formée sous la direction du Maestro Giovanni Campia et plus tard dans la classe du Maestro Guido Muneratto à la Civica Scuola di Musica Claudio Abbado de Milan. Après avoir obtenu en 2021 une thèse consacrée aux compositeurs italiens de la seconde moitié du XXe siècle, elle se spécialise dans la même institution avec Mº Silvia Cignoli, approfondissant le répertoire contemporain pour guitare classique et électrique. Il a participé aux masterclasses et cours des Maîtres Elena Càsoli, Giorgio Colombo Taccani, Arturo Tallini, Laura Mondiello, Edoardo Catemario, Claudio Maccari et Paolo Pugliese, Silva Costanzo, Gabriella de Esteban. En plus de participer aux expositions de la Civica Scuola di Musica Claudio Abbado Rispetti (en hommage et en présence de Mº Giacomo Manzoni), Îles sonores, Notti trasfigurate et Brera/Musica à la galerie d’art du même nom, il se produit pour les Journées d’automne FAI du Fonds italien pour l’environnement, pour les Journées européennes du patrimoine dans la ville de Segrate, à la Triennale de Milan pour Il tempo delle Donne édité par Corriere della Sera, au Forum Paracelse de Saint-Moritz (CH) , et dans le cadre du Foresty International Music Festival.

La participation au concert est gratuite mais les réservations sont recommandées et peuvent être effectuées, jusqu’à épuisement des places, sur le site www.mandolinistibustesi.it ou en appelant le magasin Amadeus Musica au 0331 620598.

PREV «Il m’a parlé de problèmes au travail»
NEXT Marché du Latium, Tudor-Guendouzi et l’amour qui n’a jamais fleuri. Le Français peut partir mais…