Enquêtes à notifier dans les délais ordinaires : la prolongation de la « prolongation Covid » rejetée

Enquêtes à notifier dans les délais ordinaires : la prolongation de la « prolongation Covid » rejetée
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Continuez à y tenir la cour plaintes sur l’applicabilité, ou non, de la extension introduit pararticle 67, DL 18/2020 (dite « Cura Italia ») de date d’expiration pour le notification des avis de cotisation taxes liées les rentes ne sont pas directement « concernées » des effets des dispositions d’urgence du Covid-19.

Dans la première et la plus dure phase de la pandémie, le législateur a reconnu une série d’extensions des modalités des obligations fiscales en faveur des contribuables, y compris celles relatives obligations déclaratives et de paiementqui a expiré en période comprise entre le 8.3.2020 et le 31.5.2020. De même, un report similaire, également en faveur de organismes fiscauxqui aurait pu bénéficier d’un correspondant 85 jours de suspension pour les activités de liquidation, contrôle, évaluation, recouvrement et contentieux. Par ailleurs, grâce à la saisine faite auarticle 12, paragraphe 1, décret législatif 159/2015cette extension aurait également été appliquée en référence à délai de prescription et de déchéance pour le notification des actes fiscaux.

Malgré laAgence du revenu fourni tout de suite une interprétation approfondie de l’application de la disposition réglementaire en question, l’analyse des jurisprudence la plus récente du mérite met en évidence une tendance répandue des juges fiscaux visant à déclarer une telle prolongation est inacceptablemalgré quelques déclarations pro-interprétatives plus isolées de la part de l’Administration financière, notamment en ce qui concerne le domaine de la Taxes locales.

En particulier, dans circulaire n° 18/E/2020l’Internal Revenue Service a précisé comment cette suspension affecterait tout mandat au cours duquel tombe la période du 8.3.2020 au 31.5.2020. Par conséquent, pour toutes les périodes fiscales pour lesquels les délais d’évaluation n’étaient pas encore expirés au moment de l’entrée en vigueur de la suspension (c’est-à-dire ceux de 2015 à 2018 pour les sujets Irpef et Ires « solaires »), le délai de notification d’avertissements auraient été avancé de 85 jours.

Cette interprétation a immédiatement suscité perplexité en doctrine, puisqu’il ne semble pas que l’intention du Législateur ait été d’introduire une traitement inégal, offrant différentes extensions à l’administration financière et aux contribuables. D’autant plus si l’on considère qu’il a lui-même été rappelé article 12, paragraphe 1, décret législatif 159/2015a établi que « les dispositions relatives à la suspension des délais de paiement […] en faveur des sujets touchés par des événements exceptionnels, impliquent également, pour une période de temps correspondanterelatif à même revenu, la suspension des délais prévu pour les obligations […] en faveur du fisc”. Une interprétation qui a également été censurée par le Tribunal de Justice Fiscale de Première Instance de Turin: dans le phrase n° 890/2022le panel piémontais a en effet rejeté la thèse de l’Agence des Revenus, précisant comment « la circulaire invoquée par l’Office a évidemment force obligatoire pour les offices uniquementn’ayant pas force de loi, ni même interprétative”.

Dans le même sens, ils se sont exprimés Tribunal de Justice Fiscal de Première Instance de Latina, avec la phrase no. 974/2023 et le Tribunal de Justice Fiscale de Première Instance de Prato, avec la décision no. 87/2023 : dans les deux cas, les juges ont confirmé comment le extension devrait être considéré valable uniquement pour l’année au cours de laquelle l’événement exceptionnel s’est produit Et ne peut cependant pas s’étendre “en cascade” sur les suivants, sous peine d’avantages injustes évidents en faveur des organismes fiscaux et autres préjudice aux contribuablesce qui certainement ils n’ont pas pu bénéficier de 85 jours supplémentaires pour l’accomplissement de leurs obligations fiscales dans le années après 2020.

En outre, les collèges du Latium et de Toscane ont étendu leur analyse àdisposition supplémentaire introduite pendant la période d’urgence pour réglementer les délais relatifs à la délivrance et à la notification des documents fiscaux. La référence est àarticle 157, DL 34/2020en vertu duquel les avis (quel que soit leur nom) dont les délais, à calculer sans tenir compte de la période de suspension initialement fixée par ledit article 67, DL 18/2020auraient expiré entre le 8.3.2020 et le 31.12.2020, ils devaient encore être délivré à cette dernière datemais notifié entre le 1.3.2021 et le 28.2.2022.

La volonté c’était celui de retarder seulement la notification dans le temps des documents ce qu’ils auraient pourtant dû être de toute façon établi et délivré dans le délai ordinaire de confiscation, ceci également en tenant compte du fait que, comme le confirme le texte susmentionné circulaire n° 18/E/2020pendant cette période les activités des bureaux n’ont été ni suspendues ni interrompues. Eh bien, de l’avis des juges, cela aurait été déraisonnable Je crois que pour les documents expirant en 2020, année la plus touchée par la crise pandémique, le Législateur a voulu rétablir le délai de prescription ordinaire, tandis que pour ceux qui devaient être notifiés dans des périodes ultérieures, lorsque l’urgence pouvait désormais être considérée comme surmontée, il avait voulu accorder un délai plus long.

En attendant qu’une jurisprudence plus cohérente se dessine sur la question et, enfin, que la possibilité d’exprimer le Cour de cassationtu ne peux pas t’empêcher accueillir l’orientation des récentes décisions des juges du mérite, visant à éviter un retard injustifié dans les délais de notification des avis d’assiette au profit de l’administration fiscale fondée exclusivement sur une interprétation de la loi à usage interne, mais peu conforme à la rapport législatif et le caractère exceptionnel de disposition d’urgence.

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