500 mille maisons à enregistrer, en attendant le décret

La location courte durée est un métier qui révolutionne le secteur. Comme le confirme le succès des sous-locations dans les villes les plus exclusives comme Florence, Rome, le Lac de Côme, Saint Moritz, en Suisse. Désormais, la question du Code National d’Identification pour les locations de courte durée est également débloquée. Ce qui devrait mieux réguler le secteur, qui a connu une croissance spectaculaire au fil des années et est devenu un Far West sauvage dans lequel beaucoup sont interdits.

La possibilité de partir en septembre

L’avis positif donne le feu vert à l’accord Etat-Régions sur le décret, qui arrivera en mai. Ensuite, une phase expérimentale débutera. L’objectif du ministère est de démarrer le 1er septembre. Après l’été, le décret sera publié et les 60 jours commenceront pour son entrée en vigueur complète et, ensuite, l’application des sanctions prévues par le décret d’avances fin 2023. Il s’agit d’une nouvelle étape pour la réforme inspirée par le ministère du Tourisme et approuvé en décembre 2023.

Le code sera affiché dans le bâtiment

L’objectif est d’associer un code aux unités immobilières dédiées à la location courte durée et touristique, à travers une procédure automatisée. Dans de nombreuses régions cependant, ce type de code existe déjà : ils devront être communiqués à la base de données nationale unique, selon les indications du nouveau décret. Le Cin doit être affiché à l’extérieur de l’immeuble dans lequel se trouve l’appartement et doit être indiqué dans chaque annonce. Quiconque ne le fera pas s’exposera à de très lourdes sanctions

Le nombre de logements annoncés

On s’attend désormais à une avalanche de données dans la nouvelle base de données que le ministère du Tourisme, en collaboration avec les Régions, est en train de développer. «Il y a actuellement plus de 500 mille logements qui sont annoncés en ligne dans toute l’Italie pour des locations à court terme et qui seront désormais obligés d’avoir un code d’identification qui représentera une sorte de “marque de qualité” non seulement pour ceux qui décident de rester en Italie. les structures mais aussi pour le plein respect de la légalité (également au niveau fiscal)”, rapporte un article de Dimanche 24 heures.

Annonces en cours

Les données proviennent du centre d’études Aigab, l’association italienne des gestionnaires de locations à court terme, qui les a obtenues en analysant toutes les propriétés actuellement en ligne qui répondent à une condition : avoir reçu au moins une réservation au cours de la dernière année. Il s’agit en réalité d’annonces actives, qui photographient la situation réelle du marché, au-delà des données enregistrées par les plateformes officielles des Régions. Pour être précis, il s’agit de 510 436 logements, en hausse de 13% par rapport à l’année dernière. En tête du classement se trouvent trois régions : la Toscane (avec plus de 68 000 annonces), la Sicile (un peu moins de 60 000) et la Lombardie (qui dépasse les 56 000 annonces).

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