Les dernières informations sur le registre des bénéficiaires effectifs n’ont pas encore été annoncées

Les dernières informations sur le registre des bénéficiaires effectifs n’ont pas encore été annoncées
Les dernières informations sur le registre des bénéficiaires effectifs n’ont pas encore été annoncées

Article 20, décret législatif 231/2007 (dite décret anti-blanchiment), a mis en œuvre le Directive (UE) 2015/849 (dite IV Directive anti-blanchiment), qui a sanctionné l’obligation pour chaque État membre modifier son cadre réglementaire, afin que les entreprises et autres personnes morales approvisionner et conserver information relatif à “beneficial ownership” dans les registres centraux.

L’identification de bénéficiaire effectif répond à l’objectif principal de éviter la dissimulation de l’identité du sujet qui réalise une opération spécifique à travers l’utilisation de structures corporatives opaques. L’article 1, paragraphe 2, lettre pp), décret législatif 231/2007, définit le bénéficiaire effectif comme, comment « la ou les personnes physiques, autres que le client, dans l’intérêt de la ou des personnes desquelles, en définitive, la relation continue est établie, le service professionnel est rendu ou l’opération est réalisée ».

Avec Décret ministériel 11.3.2022, n. 55en vigueur depuis le 9.6.2022, le Registre des bénéficiaires effectifsqui envisage un Première sectiondédié à l’enregistrement des beneficial ownership De entreprises privées et personnes moralesc’est un deuxièmedéfinie spécial et destiné à l’enregistrement des trusts Et d’institutions juridiques similaires.

Par ailleurs, le Ministère des Affaires et du Made in Italy (appelé MIMIT), avec arrêté du 29.9.2023, publié au Journal Officiel no. 236 du 9.10.2023 (dit décret MIMIT), a certifié opération de la système de communication de données et d’informations sur la propriété effective.

L’article 3, paragraphe 6, dernière phrase, décret ministériel 11.3.2022, n. 55exige que les communications de données et d’informations soient effectuées dans les 60 jours suivant la date de publication de la disposition certifiant le fonctionnement du système. Cela signifie que le 11.12.2023 c’était là dernier rendez-vous procéder à la communication de transmission de données relatif à bénéficiaire effectif en 2023.

Cependant, il est également connu que différents les associations avoir présenté recours en annulation, conformément à laarticle 29, décret législatif 104/2010, sous réserve de suspension de l’efficacitéde ce qui précède Arrêté MIMIT.

Face à un première acceptation de la demande conservatoireavec ordonnance no. 8083/2023 par le Tribunal administratif du Latiumet la conséquence suspension de l’efficacité de ce décret, ils ont bien suivi six phrases jumelles, déposé le 7.4.2024 (nos. 6837, 6839, 6840, 6841, 6844 Et 6845), qui ont a rejeté tous les appels car elles ont été jugées infondées.

Parmi les divers motifs d’appelil y avait une prédiction d’un forme d’accès (défini par les appelants) « généralisé » au registre des bénéficiaires effectifsqui en aurait été exclu Cour de justice de l’Union européennedu 22.11.2022, à affaires jointes C-37/20 Et C-601/20.

Sur ce point, le TAR Latium a déclaré que, contrairement à ce qu’affirmait le requérant, la Cour de justice de l’Union européenne n’a pas exclu l’accès du public au registre des bénéficiaires effectifs, qui est par ailleurs expressément autorisé depuisarticle 31, paragraphe 4, de la IVe Directive anti-blanchiment.

En outre, il a souligné que learticle 21, paragraphe 4, lettre d-BIS), le décret législatif 231/2007, ne prévoyait pas une forme d’accès généralisémais a subalterne la possibilité d’accéder aux informations sur le bénéficiaire effectif à la date anniversaire de conditions rigoureusesc’est-à-dire que :

  • le demandeur est propriétaire d’un intérêt juridique pertinent et différencié;
  • l’accès est nécessaire pour guérir ou défendre un intérêt correspondant à un situation légalement protégée;
  • il existe des preuves concrètes et documentées de non-correspondance Entre propriété effective et propriété légale.

En conséquence de ce qui précède, il est retour en vigueur le décret précité et, avec lui, le sanctions financières à la tête de ceux sujets non encore inscrits à la Chambre de Commerce au 11.12.2023. N’oubliez pas que le manque de communication des renseignements dus est puni de amende administrative d’un montant variable de 103 à 1 032 euros.

Par conséquent, à ce jour, les sujets obligés (c’est-à-dire sociétés par actions, sociétés à responsabilité limitée, sociétés en commandite par actions, sociétés coopératives et fiducies produisant des effets juridiques fiscaux, qu’elles soient ou non résidentes en Italie) sont tenus de communiquer leurs propres beneficial ownershipsignalant également tout variationpour quelque cause que ce soit, en envoyant un nouveau modèle numérique TE au bureau du registre des sociétés compétent, dans 30 jours de l’acte ou de l’événement qui a provoqué le changement.

Dans tous les cas, les mêmes sujets sont requis pour réaliser le communication annuelledonc dans les douze mois suivant la dernière réalisation, qu’elle soit de modification ou confirmation.

Enfin, il semble qu’un nouveau décret pour le report des échéances communication de données sur le bénéficiaire effectif, qui exclurait les sanctions jusqu’au 10.7.2024. Et, en tout cas, le 16.5.2024 prochain sera également là l’audience au Conseil d’État relative à la procédure mentionnée ci-dessus. Le dernier n’a pas encore été dit.

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