380 milliards de dollars en armes, des obus d’artillerie aux missiles antichar Nlaw

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Le cri d’alarme du président ukrainien Volodymyr Zelensky se fait de plus en plus fort : son pays a besoin d’autres armes pour repousser la Russie. Et avec le…

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Le cri d’alarme du président ukrainien Volodymyr Zelenski monte de plus en plus haut : vers son pays, pour repousser le Russie, il faut plus d’armes. Et avec le Congrès Etats-Unis qui retarde le nouveau paquet promis par maison Blanche, les puissances européennes se retrouvent immédiatement sous le feu des projecteurs. Où ce qui manque, ce n’est pas la volonté d’aider Kiev, mais plutôt la capacité de pousser davantage la production de guerre au niveau industriel. D’un autre côté leL’Europe  n’avait pas fait face à une bataille terrestre aussi longue sur son territoire depuis Deuxième Guerre mondiale. Et l’objectif fixé par allouer 2% du total à la défense PIB national jusqu’en 2014 – année où Poutine il l’a pris Crimée – n’avait été rejoint que par trois membres duAlliance. L’année dernière – en plein conflit – ils étaient 11, dont dix en Vieux monde. Fin 2024, il devrait y en avoir 18 sur 28. Il suffit de dire que selon les calculs deÉconomiste, en 2022 les dépenses des membres européens de l’OTAN n’ont pas dépassé celles de 1990 ; cette année, il atteindra 380 milliards de dollars, soit le même budget que celui de la Russie.

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Les entreprises clés

Les sept principales entreprises du secteur – dont l’italienne Léonard – ils ont déjà de nouvelles commandes d’une valeur de plus de 300 milliards d’euros. La part du lion est allemande Rheinmetalldont les actions dans Sac ils ont vu leur valeur quadrupler en 2022. L’entreprise – qui a bénéficié d’un investissement de 100 milliards d’euros de la Chancellerie allemande en juin 2022 – produit des obus d’artillerie de 155 millimètres. Exactement quoi Zelenski il a besoin. Selon les estimations des experts, d’ici 2026, le groupe allemand sera en mesure de produire 700 000 clichés par an. Avant l’invasion de Poutine, ce chiffre s’arrêtait à 70 000 personnes.

En deuxième position se trouve le Suédois Saab qui doit l’essor du marché aux missiles antichar Nlaw. Kiev les reçut immédiatement : au cours du premier mois de la guerre, près de cinq mille arrivèrent de Royaume-Uni, Suède et même de Luxembourg. Grâce à ces systèmes pratiques et mortels, la Défense ukrainienne a annoncé avoir détruit 335 chars russes et plus d’un millier de véhicules blindés au cours de cette période. Fondamental pour leUkraine et pour le sort de l’entreprise qui a vu ses actions s’envoler de 240 %. Non seulement pour Nlaw mais aussi pour la chasse Gripen et pour les systèmes radar sophistiqués, eux-mêmes utilisés sur le sol ukrainien.

Leonardo complète le podium, dont l’action a enregistré une hausse de 198 %. D’après l’analyse de Temps Financier l’augmentation des commandes reçues de MBDAle principal fabricant européen de missiles contrôlé par la société italienne avec Airbus Et Systèmes Bae. Rien qu’en 2023, Mbda a signé des contrats d’une valeur de 7 milliards d’euros avec Pologne, Allemagne Et France.

Le britannique Bae Systems fait également partie des autres sociétés qui ont vu leurs bénéfices augmenter, tout comme le français. Suivantqui produit l’obusier à longue portée César, ce qui a été décisif pour la défense du territoire ukrainien. Bonnes performances également pour le groupe Nammopropriété des gouvernements de Finlande Et Norvège. Et pour les Britanniques Chring et les Français Eurencoparmi les principaux fournisseurs d’explosifs et de propulseurs.

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