Arenzano, “Livres sur la place”: rencontre avec les écrivains Ilaria Santambrogio, Marina Gellona et Sara Marzullo

Arenzano, “Livres sur la place”: rencontre avec les écrivains Ilaria Santambrogio, Marina Gellona et Sara Marzullo
Arenzano, “Livres sur la place”: rencontre avec les écrivains Ilaria Santambrogio, Marina Gellona et Sara Marzullo

Mercredi 3 juillet deuxième rendez-vous de l’événement « Des livres sur la place » à Arenzano.

Sur la Piazza Nastrè (ou en cas de mauvais temps au centre Gino Strada du Lungomare Uniti) à 21h, le blog Trois bonnes raisons de lire rencontre quatre jeunes femmes et deux livres tout juste sortis de presse qui partagent la lutte contre les préjugés et les stéréotypes qui marquent le corps féminin. La réunion sera animée par Valentina Bocchino, journaliste et écrivain, et Simone Farello, écrivain. Présenté par Anni Valle, présidente de Unitre Arenzano et Cogoleto.

Pour compléter la soirée, les lectures de Sara Damonte, directeur artistique de Théâtre aux rideaux déchirés d’Arenzano.

“Les fleurs n’ont pas besoin de peigne”

de Ilaria Santambrogio et Marina Gellona
(Capovvieux éditions)

Ilaria souffre d’alopécie depuis qu’elle est petite. Une expérience vécue, traversée, combattue puis épanouie en dialogue avec elle-même. En quête de reconnaissance de soi, il vit dans un équilibre entre une société performative, qui prétend façonner les gens en produits égaux et contrôlables, et la recherche d’un bien-être authentique. Des conflits au travail aux affaires familiales, la non-conformité devient un chemin à emprunter pour s’affirmer.

Ilaria Santambrogio est une coach experte en bien-être organisationnel et développement personnel, Marina Gellona est journaliste, diplômée en philosophie et diplômée de la Holden School, où elle a enseigné pendant de nombreuses années.

“Fille triste. La fille comme théorie”

par Sara Marzullo
(@66thand2nd)

Sara Marzullo s’interroge sur ce qui se cache derrière l’obsession culturelle pour les jeunes filles. Du capital sexuel aux pop stars, en passant par l’industrie à la première personne, il enquête sur les archétypes et les stéréotypes qui façonnent les filles et conditionnent leur comportement et leur éducation sentimentale et sexuelle, pour en tirer une théorie qui puisse les libérer de leur rôle d’objets passifs.

Sara Marzullo est journaliste culturelle et traductrice. Il vit à Turin. Il a écrit sur les romans, les villes et le genre dans « Il Tascabile », « Harper’s Bazaar » et d’autres publications. Fille triste est son premier livre.

La revue est éditée par Tre Buoni Motivi per Leggere e Unitre Arenzano Cogoleto Arenzano Turismo e avec le patronage de la Commune d’Arenzano.

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