la crise commence à partir de là. Spagnoli est le seul à doubler les chiffres. L’apport de ses coéquipiers offensifs était insuffisant

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ANCONA Pour gagner des matchs, il faut marquer des buts. Le postulat incontournable lié au football ne permet pas d’exceptions. Et il survit à tous les changements possibles. Il faut partir de là pour expliquer l’effondrement vertical d’Ancône, désormais quatrième du dernier avec 35 points et en pleine forme (ils les joueraient contre Vis Pesaro, si la saison régulière se terminait maintenant), fraîchement battu à Pontedera. . Encore un autre loin des murs amis de Del Conero.

Les chiffres de la crise

Lors des quatre derniers déplacements à l’extérieur – Arezzo (3-0), Pérouse (2-0), Recanatese (2-0) et Pontedera (2-0) – il y a en effet eu autant de débâcles. Sans aucun réseau construit. Dimanche à Mannucci, on a entrevu quelque chose en termes d’opportunités – qui ont été largement gâchées (par Basso en premier lieu) – mais surtout parce que l’équipe amarante a baissé son régime moteur pendant au moins 70 minutes après avoir pris la tête. Pour mieux comprendre la stérilité offensive, il suffit d’analyser les cinq derniers matches disputés par ordre chronologique : Pérouse-Ancône (2-0), Ancône-Torres (1-1), Recanatese-Ancône (2-0), Ancône-Spal (0 – 0), Pontedera-Ancône (2-0). Conclusions : un seul but en plus de 450 minutes marqué par un milieu de terrain, Saco. Et rien de plus. Une équipe qui doit se sauver ne peut pas échouer ainsi devant le but. Toujours au cours des cinq matches en question, les concurrents Spal, Recanatese et Fermana ont marqué sept buts. Relance au moral et au classement. Seul Spagnoli, au sec depuis cinq tours (quelle coïncidence, ndlr), a dépassé les deux chiffres avec 12 buts. Ses partenaires offensifs Energe (5 buts), Giampaolo (2 buts), Moretti (0 but), Cioffi (0 but), ont jusqu’à présent été insuffisants dans leur apport global. Ce n’est pas un hasard si dès que l’attaquant de Pordenone a réduit les normes, des problèmes sont apparus. Lampanti.

Le fléau des tags

Un autre problème désormais bien connu est celui des cartes de pointage. Entre avertissements et disqualifications, chaque jour de plus en plus de joueurs deviennent indisponibles (ce n’est que contre Sestri qu’ils seront arrêtés par le juge sportif Cioffi, Paolucci et Gatto). À cela s’ajoutent les expulsions naïves auxquelles il a été remédié dans un contexte extrêmement sensible. Voir l’accord Cioffi-Clemente à Recanati ou Paolucci à Pontedera.

Je sais, c’est difficile de s’en passer

Enfin, l’utilisation de Coli Saco mérite une étude à part. Le Franco-Malien, 6 buts cette saison tous synonymes de points à l’exception de celui contre Rimini, de retour du voyage au Japon avec son équipe nationale des moins de 23 ans du Mali a fait deux bancs consécutifs. Les raisons incluent le décalage horaire, l’état de forme physique et la coïncidence avec le Ramadan. Un entraîneur expert et aguerri comme Roberto Boscaglia sait cependant bien que certains joueurs – même s’ils ne sont pas en pleine forme – sont indispensables sur l’échiquier. Dans le cas de Saco, les chiffres le confirment également. Rien qu’au tour retour, dans les cinq matches au cours desquels le géant de 197 centimètres de l’école de Naples n’a pas été titulaire, il y a eu quatre défaites (Juventus Next Gen., Arezzo, Recanatese et Pontedera) et un match nul (Spal). Pratiquement, sans lui sur le terrain, les Doriens démarraient battus à 80%. Ce ne sont bien sûr que de simples pourcentages mathématiques, mais ils peuvent parfois être utiles. C’est pourquoi sa présence dimanche à Del Conero devient fondamentale.

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Courrier Adriatique

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