Le spa Aldo Tasca a été acquitté

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TREVISO – Acquitté parce que le fait n’existe pas. L’histoire de Gianni Tasca, entrepreneur en construction et propriétaire du…

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TRÉVISE – Acquitté parce que le fait n’existe pas. L’histoire de Gianni Tascaentrepreneur en construction et propriétaire de Spa Aldo Tasca de Ponzano, accusé de corruption dans le cadre d’une enquête menée par Police Financière de L’Aquila pour ce qui s’est passé pendant la période de reconstruction post-séisme. L’entrepreneur était essentiellement accusé d’avoir soudoyé un directeur municipal pour obtenir des contrats d’environ 9 millions d’euros. L’accusation s’est effondrée face à la reconstitution et aux preuves présentées lors de l’audience de la défense dirigée par l’avocat de Trévise Fabio Créa: «Nous en sommes extrêmement satisfaits acquittement parce que le fait n’existe pas après la condamnation au premier degré il y a huit ans, qui a abouti à une peine de trois ans – explique l’avocat – malheureusement, le regret demeure car, comme cela arrive souvent, L’homme d’affaires l’accusé doit attendre trop d’années pour que son innocence soit reconnue, mais entre-temps, il subit des dommages incalculables à son entreprise, comme cela s’est produit à Tasca lors de la reconstruction suite au tremblement de terre de L’aigle».

LES FAITS
L’histoire a commencé en 2011 lorsque l’entrepreneur de Trévise a été accusé d’avoir obtenu illégalement des contrats pour 9 millions d’euros d’un gestionnaire de la municipalité de L’Aquila. En effet, le parquet estime que le gérant avait reçu de l’entrepreneur environ 50 000 euros sous forme de « remise » pour la construction de 4 maisons à la périphérie de la ville. Selon l’accusation, le gérant aurait facilité Spa Aldo Tasca dans la cession des travaux reconstruction post-séisme notamment d’une copropriété dont il était également l’administrateur, donc chargé d’un service public. L’homme aurait signé un accord préliminaire avec l’entreprise de construction pour la cession des travaux mais sans date et n’est jamais passé par l’assemblée de copropriété. De plus, il aurait poussé le spa Aldo Tasca en l’aidant et en le favorisant jusqu’à l’attribution des travaux. Bref : pour l’accusation, il y avait toutes les conditions pour un achats pilotés.

LES ENQUÊTES

Le Parquet a confié l’enquête à la Police Financière de L’Aquila qui a saisi 264 mille euros des suspects, disposition cependant annulée par la Revue qui a accepté la demande présentée par les avocats de la défense. Libération de la saisie ultérieurement également confirmée par Cour de cassation. Mais dans un premier temps, le Tribunal n’a pas tenu compte de la libération de la saisie et a plutôt condamné deux des trois suspects: l’entrepreneur de Trévise et le gérant, en acquittant la fille du fonctionnaire précédemment accusée de complicité de corruption. Les juges, à cette occasion, ont considéré comme valables les conclusions formulées par Fiamme Gialle. Les avocats de la défense ont cependant toujours soutenu le cas de corruption était inexistant car reconstitué. Et après la condamnation au premier degré, une fois les motifs reçus, la course a commencé à tout renverser en appel. Et c’est ce qui s’est passé : la sentence prononcée il y a quelques jours a complètement acquitté Gianni Tasca parce que le fait n’existe pas.

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Le Gazzettino

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