Messine : « Cette enquête n’aurait pas dû être menée »

Messine : « Cette enquête n’aurait pas dû être menée »
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Le fait n’existe pas. Mais que cela n’existe pas, pourrait-on dire, cela a été clair dès le début de l’enquête de détournement de fonds qui a impliqué l’ancien président de la Fondation Vulci Carmelo Messina avec l’ancien maire Sergio Caci et l’ancien directeur administratif du parc archéologique Alessandro Fiordoms.

Ils ont tous été totalement acquittés par le tribunal de Civitavecchia au terme d’un calvaire judiciaire qui a duré 5 ans. Le procureur, rappelons-le, avait requis 4 ans de prison pour tous pour les prétendus dommages causés à la Fondation Vulci. Là où le dommage aurait été les frais de représentation – 36 mille euros – engagés sur 4 ans.

Messine : « Cette enquête n’aurait pas dû être faite »

“Dans ma carrière, j’ai dirigé des entreprises valant des milliards d’euros sans jamais avoir été touché par une procédure, j’ai dû arriver ici pour tomber, à 70 ans, sur une enquête surréaliste”, a-t-il déclaré au Corriere, au lendemain. de la peine d’acquittement, l’ancien directeur de l’IRI. Lequel, tout en évaluant la possibilité de demander réparation avec ses avocats, espère que cette condamnation pourra servir de leçon à ceux qui entendent mener la lutte politique à travers les tribunaux. Il s’agit de l’auteur de la plainte qui a mis en branle le Parquet et les Finances en 2019, à savoir l’ancienne conseillère municipale du PD Eleonora Sacconi.

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L’ancien président de la Fondation Vulci se réjouit de l’acquittement

« À la lumière de cette sentence libératrice – déclare Messina – le moment est peut-être venu pour que la politique locale change de rythme : on ne peut pas toujours faire appel au pouvoir judiciaire. Afin de ne pas empoisonner les relations dans les petites villes comme la nôtre, la discussion, même la plus dure, doit rester sur la table politique, ou en tout cas dans un forum public. Ainsi, le pouvoir judiciaire, s’il prend connaissance d’un délit, a l’obligation d’intervenir”. Et cette fois, sans la plainte de Sacconi, il lui aurait été difficile d’intervenir. Mais en quoi consistaient ces dépenses de représentation fantômes qui ont fini par faire l’objet d’une enquête de la Police des Finances ? Tout d’abord, il convient de noter que les sommes personnellement contestées à Messine s’élèvent à 1 800 euros et que 96 000 euros figurent également dans les documents d’enquête datant de la période précédente au cours de laquelle le parc Vulci était géré par la société municipale Mastarna.

MC

ARTICLE COMPLET DANS LE COURRIER DE VITERBO DU 20 AVRIL – KAND NUMÉRIQUE

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