au moins les travailleurs et les résidents exonérés

Salerne fait déjà partie des ville avec les impôts locaux les plus élevés d’Italie – même l’Irpef supplémentaire est de 1,1%, sans parler du Tarsu – mais pour les services il est en bas du classement de la qualité de vie. Et pour régler un budget qui ressemble plus à un gruyère qu’à un document comptable (qui était également erroné dans le premier projet présenté au conseil municipal), l’administration a préparé ces derniers mois une taxe de séjour pour tous ceux qui s’arrêtent en ville. Non seulement les touristes arrivant sur des bateaux de croisière, mais aussi ceux qui embarquent de Salerne avec ferries pour la côte amalfitaine. Pas nécessairement des touristes, même ceux qui en été, au lieu de prendre la voiture ou le bus, choisissent les routes balnéaires.

Les revenus attendus des frais de pension, inscrits au budget, sont d’environ 750 mille euros. ET cela affectera environ un demi-million de passagers par an. Tout le monde paie, en moyenne, un euro et 50 centimes, sauf les enfants. Mais l’augmentation, surtout pour ceux qui travaillent sur la côte depuis Salerne, risque de déplacer ces navetteurs des routes maritimes aux routes asphaltées. Avec pour conséquence l’inondation d’une route, la seule, qui devient impraticable surtout pendant les mois d’été.

Pour cette raison le Conférence des maires de la côte amalfitaine a pris position contre la taxe de départ de la municipalité de Salerne. Hier, lors d’une réunion tenue à Praiano, ils ont décidé de demander officiellement exempter au moins les résidents et les travailleurs qui utilisent les ferries tous les jours. Par ailleurs, le préfet a été invité à demander une table technique visant à discuter des opérations de débarquement et d’accostage des ferries désormais prolongées dans le temps.

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