Grève des transports : arrêt de quatre heures du Circum

Le 26 avril 2024 sera un Black Friday pour les transports publics locaux. Arrêt de quatre heures pour la Circumvesuviana.

Dans une action de grève nationale de 4 heures, de 18h00 à 22h00, les employés de la Circumvesuviana, dirigés par OS CONF.AIL, élèveront la voix contre un avenir incertain pour les transports publics locaux (TPL).

La grève met en lumière deux questions crucial: conventions collectives nationales de travail de plus en plus désavantageux et l’inquiétude croissante pour la la sécurité d’emploi. Pendant les quatre heures de grève, le service sera fortement influencé par le nombre de travailleurs qui participent à la protestation, mettant à rude épreuve le mobilité de milliers de navetteurs.

Cette action ne constitue pas simplement une rupture avec les opérations normales ; est un cri de ralliement pour un avenir plus sûr et plus juste pour ceux qui travaillent dans les transports publics. Il est temps que la voix des salariés soit entendue et que des solutions concrètes soient trouvées pour améliorer les conditions de travail et assurer la sécurité au travail.

Alors que le train Circumvesuviana ralentit pendant la grève, une question cruciale se pose : combien de temps encore l’entreprise pourra-t-elle ignorer les appels à l’amélioration du TPL ?
L’objectif de cette manifestation est clair : mettre en lumière les difficultés auxquelles sont confrontés les travailleurs de TPL et exiger un changement immédiat. Pendant la période de grève, le fonctionnement des services sera en jeu, car il dépendra du nombre de travailleurs qui rejoindront la grève. Il s’agit d’un moment crucial dans lequel nous réfléchissons non seulement au présent mais aussi à l’avenir d’un secteur fondamental pour la mobilité et la vie quotidienne de nombreuses personnes.

Alors que la société se prépare à une période de perturbation, ce qui ressort clairement est la nécessité d’un dialogue constructif entre les parties prenantes pour trouver des solutions durables. Les transports publics ne peuvent pas se permettre d’être paralysés par des inégalités contractuelles et des problèmes de sécurité sur le lieu de travail.

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