après deux ans toujours des insomnies et des cauchemars récurrents

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D’abord la course désespérée en hélicoptère jusqu’à l’hôpital « Gemelli » de Rome pour les soins nécessaires, puis le long séjour à l’hôpital, enfin l’inconfort psychologique à nouveau…

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D’abord la course désespérée en hélicoptère jusqu’à l’hôpital « Gemelli » de Rome pour se faire soigner, puis le une longue hospitalisation, enfin un malaise psychologique encore persistant, exprimé au début uniquement par le dessin.

La première audience et la plus importante (en raison des conséquences sanitaires signalées) s’est ouverte hier au Tribunal Civil de L’Aquila concernant l’accident survenu le 19 mai il y a deux ans à l’école maternelle “Primo Maggio” de via Salaria Antica Est, où six enfants ont été heurtés par une voiture devenue folle. Le petit Tommaso D’Agostino ne pouvait rien y faire. Pour l’un des cinq mineurs blessés, une petite fille roumaine de 6 ans, assisté de l’avocat Guido Alfonsi du tribunal de L’Aquila, le procès s’est ouvert hier avec une demande de dommages et intérêts de 400 mille euros, somme partagée entre le mineur elle-même (Maria, nom fictif), son frère d’un an son aîné (présent au moment de l’accident et indemne) et ses parents.

Transférée par ambulance aérienne à “Gemelli”, la petite fille a été diagnostiquée avec une fracture de la région pariéto-occipitale droite. Pronostic à 50 jours. Le 31 octobre de la même année, Maria quitte l’hôpital pour entreprendre un long voyage psychologique dont ni elle, ni son frère, ni ses parents ne se remettront. Au cours des rencontres que nous avons eues, la petite fille a mis en évidence une expérience d’anxiété et de peur qui nécessitait dans un premier temps la présence de la figure maternelle dont elle ne voulait pas se séparer. Au début, elle a essayé d’éviter toute comparaison avec ce qu’elle avait vécu en référence à l’événement traumatisant dans lequel elle s’est retrouvée impliquée et elle a utilisé des dessins pour communiquer. Une petite fille affectée par des sentiments de colère, de peur et de fortes craintes à l’égard d’elle-même et de sa famille également parce qu’elle a été particulièrement touchée par la mort de Tommaso “qui appelle et cherche”, souligne l’expert dans son rapport.

Selon un expert psychologue, son frère présente « une détresse émotionnelle, révèle de l’anxiété et une difficulté à contrôler sa propre personnalité. Elle révèle notamment la présence de sentiments de colère qui sont cependant suivis de sentiments de réparation. A travers le jeu, les dessins et les contes de fées, l’enfant exprime des signes de mal-être qui peuvent être liés à l’incident dont il a été témoin.”

La convocation souligne que «les deux enfants présentaient un état d’insomnie avec des cauchemars et la peur d’être abandonnés ou séparés de leurs parents. La petite fille a encore besoin de coucher avec ses parents à cause de cauchemars, tandis que son frère a développé un comportement oppositionnel et colérique avec des idées de mort. »

Enfin, place aux parents « qui se sont retrouvés face à cette tragédie avec l’horreur qui a persisté pendant plus de six mois de ne pas avoir résolu les problèmes physiques de Maria, constamment surveillée et soumise à des thérapies pendant cette période ».

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