25 avril, le souvenir d’il y a 79 ans et quelques attaques à droite dans le discours de Gipo Anfosso (Photo et Vidéo) – Sanremonews.it

25 avril, le souvenir d’il y a 79 ans et quelques attaques à droite dans le discours de Gipo Anfosso (Photo et Vidéo) – Sanremonews.it
Descriptive text here

Participation massive, par rapport aux années précédentes, aux célébrations du ‘Le jour de la libération, ce matin à Sanremo. Peut-être grâce à la campagne électorale (il y avait trois candidats à la mairie), le cortège a parcouru son chemin de la Piazza Borea D’Olmo à la Via Matteotti et au Corso Mombello pour s’arrêter aux deux monuments aux morts, où a été joué l’hymne mameli et où l’on a rendu le honneurs.

Avec le groupe ‘Città di Sanremo’ en tête, le classique a été enregistré présence des plus hautes autorités civiles et militaires avec plusieurs représentants de l’administration municipale matuzienne et, comme mentionné, trois des sept candidats à la mairie et de nombreux membres des partis et listes civiques en lice pour les prochaines élections locales. Parmi les différentes banderoles, une se distinguait particulièrement et était liée à la demande de paix entre Israël et la Palestine.

Dirigé par le président de l’Anpi, Amélie Narciso, la procession s’est poursuivie vers les jardins Vittorio Veneto et Pian di Nave, où a eu lieu la cérémonie officielle. La « Prière pour la Paix » a été récitée devant le Monument de la Résistance (dans les jardins Gino Napolitano). Après les salutations de l’administration communale, ce fut au tour du prof. Gipo Anfosso, professeur, écrivain, fils du partisan Dr. Léon Anfosso. Quelques lettres sur le thème de la Résistance ont également été proposées par des membres de l’ANPI.

Un passage du discours de Gipo Anfossodiplômé en philosophie, professeur de littérature et formateur et auteur de nouvelles : « La valeur de la Résistance était de lutter ensemble contre le fascisme, qu’il fallait vaincre, puis se séparer et faire prévaloir ses idées sur les autres de manière démocratique. L’unité repose aussi sur la Constitution, qui doit être la boussole pour défendre les droits, pour nous défendre des tendances fascistes et autoritaires qui sont très présentes autour de nous. L’unité doit avoir un allié très clair, fixant des limites précises. La droite dit toujours la phrase ridicule : « Le 25 avril est source de division ». Je réponds “oui, cela a toujours été entre ceux qui croient en la démocratie et ceux qui sont fascistes”. L’antifascisme divise également et il faut recréer certaines valeurs, étant donné que la droite se distancie des lois raciales. Ce sont ensuite les mêmes qui donnent aux rues le nom d’Almirante, secrétaire de la revue « La défense de la race ». Assez de « le fascisme a fait de bonnes choses ». N’oubliez pas que c’est le fascisme des débuts qui a tué Matteotti.”

Anfoxus il a également traité des événements de Pise et de Rome, à l’occasion des passages à tabac contre certains étudiants. Il y avait aussi quelques passages sur les attaques d’Israël et du Hamas, sur la guerre en Ukraine, pour laquelle seule l’Église a demandé une intervention diplomatique, et sur l’environnement.

À la findans la zone où se trouve la plaque commémorative du commandant Guglielmo Vittorio (Vitò) dans le jardin devant le Fort de Santa Tecla, le discours de l’écrivain et journaliste a été lu Antonio Scuratiqui devait être diffusé sur la Rai et qui a fait l’objet de nombreuses polémiques ces derniers jours.

(Photo par Erika Bonazinga)

NEXT Maignan intransférable ? SKY révèle la position de Milan