de la Municipalité ils rassurent, «Je travaille déjà sur les ajustements»

de la Municipalité ils rassurent, «Je travaille déjà sur les ajustements»
de la Municipalité ils rassurent, «Je travaille déjà sur les ajustements»

Il est prévu de réviser la taxe de séjour au Palazzo di Città. En fait, soyez précis le président de la commission du conseil budgétaire, Fabio Polverino, c’était déjà là. «Nous devons vérifier les chiffres – explique Polverino – et pour cela nous envisageons de rencontrer les compagnies maritimes». Au lendemain de l’annonce des opérateurs maritimes de recourir à Le goudron contre la résolution avec laquelle le Commun a instauré, depuis le 1er avril dernier, la surtaxe municipale sur les frais de pension à partir deles ports de Salerne, le Palais Guerra s’est mis au travail pour vérifier la faisabilité d’une remodulation de la taxe, actuellement composée de 1,50 euros pour tous les passagers embarquant des ports de Salerne, sans distinctions relatives au parcours des itinéraires. À titre indicatif, pour répondre aux besoins des résidents et des navetteurs – besoins également soutenus par président de la commission communale des transports de la région Campanie, Luca Cascone, et par le député PD Piero De Luca – il faudrait trouver environ 200 mille euros dans le budget. Des centimes, par rapport aux plus de 8 millions d’euros trouvés en deux semaines pour remédier à la grave erreur commise dans l’élaboration du budget prévisionnel.

LA STRATÉGIE
«La première chose à faire – explique Polverino – est de vérifier de quels chiffres nous parlons. Même au conseil municipal, lorsque la taxe a été approuvée, nous avons dit que nous procéderions à des ajustements après son entrée en vigueur. Il y aura donc une série de réunions avec les opérateurs maritimes, nous examinerons les chiffres et, s’il y a une possibilité d’ajuster quelque chose, nous le ferons. Mais nous l’avons déjà dit. Pour nous, il était important d’introduire la taxe dans le budget.” De plus, la directive initiale reçue du conseil municipal était de moduler la taxe en fonction de la longueur des trajets à parcourir. Un mécanisme trop complexe, “étant donné la pluralité des sujets impliqués qui rend la coordination difficile”, souligne Polverino. Et compte tenu de la nécessité d’introduire la surtaxe communale pour 2024, déjà avec un an de retard par rapport à ce qui avait été établi par le Pacte pour Salerne signé avec le Mef. La taxe aurait en effet dû être instituée en 2023, mais cela a été impossible car leAutorité portuaire n’avait pas fourni de données sur les flux de passagers ni sur les méthodes administratives et comptables de gestion de la taxe elle-même. Pour récupérer les recettes perdues, la municipalité a dû recourir à une nouvelle augmentation, égale à 0,05%, de la surtaxe municipale à l’Irpef pour 2023. Dans la prévision budgétaire 2024-2026, selon le nombre d’environ 500 mille passagers par an fournie à la Commune par l’Autorité Portuaire, avec un supplément égal à 1,50 euros par passager, sans distinction, les recettes estimées relatives au supplément communal sur les frais d’embarquement sont égales à 750 mille euros.

FRAIS
La suppression de la taxe pour les résidents, les travailleurs et les navetteurs (mais les abonnés ne paient déjà la taxe qu’au moment de la souscription à l’abonnement) et la remodulation des tarifs en fonction des itinéraires ne devraient pas entraîner un coût trop élevé. «Nous devons rencontrer l’Autorité portuaire et surtout les compagnies maritimes. Ce sont eux qui doivent nous fournir le nombre de navetteurs, les abonnés, les itinéraires les plus touchés, etc., sur la base desquels nous pouvons calculer. C’est sur le flux de passagers que nous avons paramétré la taxe et c’est sur ce flux que nous devrons éventuellement la remoduler”, poursuit Polverino. Il ajoute: «Il ne faut pas seulement prendre en considération la côte amalfitaine, mais aussi le Cilento».

Pour le moment, la Commune a déjà eu des discussions avec le conseiller régional Cascone et, en attendant la rencontre avec les opérateurs maritimes, encore à programmer, la question sera également discutée la semaine prochaine au sein de la commission municipale du budget. De plus, l’opposition avait déjà soulevé la polémique avant l’approbation de la taxe. Et la majorité elle-même s’est montrée sensible au sujet.

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