par MR
Malade, handicapée et maltraitée par son ex-mari, elle a perdu un fils (décédé dans des circonstances tragiques) et, maintenant qu’elle se retrouve seule à la maison avec sa fille, également handicapée, les dépenses sont élevées et la maison est trop grand pour deux personnes. Le protagoniste est une Italienne, originaire des Pouilles et résidant à Terni. De plus, cet appartement Ater, dans le quartier de Borgo Rivo, se trouve au huitième étage, mais l’ascenseur ne va qu’au septième.
Ater logement mobilité C’est l’une des nombreuses histoires que les syndicats ont tenté de porter à l’attention des institutions compétentes, avec des résultats connus. Une de ces circonstances dramatiques pour lesquelles la mobilité résidentielle dans le cadre du logement social serait une solution pour les familles multiples. Dernièrement, des femmes ont dû renoncer aux traitements oncologiques pour ne pas payer le service de transport et pouvoir joindre les deux bouts.
Vieille femme à la recherche d’une maison En plus des factures, elle reçoit des impayés de son ex-mari, dont elle s’est séparée en 2019 sans recevoir de pension alimentaire. L’ex-conjoint, détenu à plusieurs reprises à la prison de Sabbione, avait en effet immatriculé la voiture à son nom et accumulé des factures fiscales pour plus de mille euros ; entre-temps décédée en 2021. Elle vit d’une pension sociale de 650 euros, sa fille perçoit une allocation d’invalidité de 300 euros. D’après ce qu’il rapporte, il a demandé à plusieurs reprises à Ater un autre logement, en vain. En désespoir de cause, elle se tourna alors vers Ombrie24 afin que son appel pour un logement accessible et économiquement durable soit entendu et que sa demande soit acceptée.