Bénévent, arrêt à l’hôpital Rummo chez des spécialistes comme palliatif: «Une formation est nécessaire»

Bénévent, arrêt à l’hôpital Rummo chez des spécialistes comme palliatif: «Une formation est nécessaire»
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Le Rummo elle fait partie des premières structures hospitalières qui, depuis quelques années, ont commencé à s’appuyer sur un personnel médical très diversifié, issu des classements des spécialistes, atteignant même un recrutement de jeunes médecins d’un peu moins de 100 unités, et visant à les stabiliser indéfiniment. Une initiative, celle de l’entreprise hospitalière qui, à la lumière du nouveau décret envisagé par le Pnrr, renforce la position de l’hôpital et consolide celle des jeunes médecins. «Notre orientation – dit le directeur général Marie Morgante – car le recours, dirions-nous intensif, à des médecins spécialistes était en substance dicté par le principe omniprésent de faire de la vertu une nécessité.

N’oublions pas que la Campanie est encore lourdement pénalisée par ces 10 années de commissariat qui ont bloqué le turnover et provoqué en réalité un appauvrissement grave et encore plus important de la main-d’œuvre, notamment des médecins et des infirmières. La Région a réussi à éliminer la dette mais aujourd’hui encore il y a des retards de certification qui ralentissent l’objectif de pouvoir agir en régime normal”.

«La disposition législative qui permet de garder les spécialistes dans le service est certainement une bonne nouvelle, ainsi que la règle qui facilite leur entrée dans le Service de Santé en dehors du réseau de formation – souligne Morgante -. Cependant, à notre humble avis, le recours à ces personnalités professionnelles ne peut répondre au besoin actuel de remédier aux lacunes de l’assistance. Il est essentiel que l’emploi de quartier soit intégré à des mesures qui éliminent le risque d’abroger la formation des stagiaires par la loi.

Aujourd’hui, nous avons un peu plus d’oxygène pour faire face à la très grave pénurie de personnel : les données de sources officielles témoignent que des régions beaucoup moins peuplées que la Campanie, et ce sont toutes des régions du Nord et du Centre, comptent beaucoup plus de médecins et d’infirmières. par rapport à nous. Il faut cependant considérer cette condition littéralement « provisoire », sans tomber dans le piège du « provisoire » qui en Italie devient souvent synonyme de « définitif ». «En d’autres termes – conclut la responsable -, il est essentiel que le plafond des dépenses en personnel de santé soit libéré, compensant ainsi les trop nombreuses erreurs du passé. Considérer les “dépenses historiques” comme un critère de quantification et de répartition des ressources avec une allocation plus équitable des fonds aux Régions, Campanie en tête, qui ont été jusqu’à présent les plus pénalisées”.

Avant cet avenant, le contrat de travail à durée déterminée prévoyait une durée maximale de 18 mois, durant laquelle le jeune médecin avait l’obligation d’obtenir le titre de spécialiste. Aujourd’hui, la limite de 18 mois a été abolie, ce qui présente d’énormes avantages en termes de niveau de services fournis. En effet, l’inclusion d’un jeune médecin au sein d’un service, avec un contrat de salarié, garantit une meilleure continuité de soins aux patients qui n’est cependant pas assurée par le recours à d’autres formules. L’hôpital municipal n’a jamais eu recours à des médecins rémunérés mais a recours à des accords avec d’autres établissements de santé et hospitaliers du territoire régional pour garantir des horaires de travail dans certains services où il n’a pas encore été possible de compléter le personnel. Le médecin engagé, d’abord à durée déterminée puis en CDI, perçoit une rémunération structurée qui convient à l’entreprise et garantit la stabilité des prestations.

«C’est important – explique-t-il Guido Quici, président national de la confédération Cimo Fesmed – la facilitation de l’entrée dans les structures du Service National de Santé pour les spécialistes extérieurs au réseau de formation. En tant que fédération, nous espérons le lancement d’une réforme sérieuse qui ne peut pas se limiter seulement à l’entrée mais doit viser à compléter leur formation dans le domaine pour assurer aux jeunes médecins des garanties et des protections adéquates également du point de vue médico-légal. C’est pourquoi nous partageons pleinement l’idée d’un « hôpital-école » qui garantisse aux nouvelles générations une formation sur le terrain qui fait souvent défaut pendant tout le cycle de formation universitaire.

Six participants sur huit ont été admis au concours pour le poste permanent de directeur médical du service de neuropsychiatrie infantile. Quelques mois après le retrait général du concours, l’hôpital réessaye et lance un nouveau processus de concours. En effet, à la mi-novembre, au concours de neuropsychiatrie infantile, les 7 admis avaient décidé de ne pas se présenter aux tests pour lesquels, actuellement, le département, au troisième étage du pavillon San Pio, entendait fournir un premier classement. du mineur qui arrive en consultation, recourt uniquement à l’aide d’un psychologue responsable.

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