Des Jeux olympiques record. Il n’y a jamais eu autant de gens d’Ancône

Des Jeux olympiques record. Il n’y a jamais eu autant de gens d’Ancône
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A moins de cent jours des Jeux olympiques de Paris qui débutent le 26 juillet et se terminent le 11 août et la patrouille italienne est de plus en plus nombreuse, grâce également aux athlètes d’Ancône. A ce jour, les places déjà assurées pour l’Italie sont de 221 (66 remportées individuellement, 155 par le pays qui les distribuera ensuite aux différents joueurs convoqués) mais ce nombre est appelé à croître sensiblement car certaines disciplines peuvent encore se qualifier pour les Jeux. L’une d’elles concerne particulièrement Ancône : il s’agit du basket-ball masculin, qui ambitionne de passer aux Jeux pré-olympiques de San Juan à Porto Rico, du 2 au 7 juillet. Ce sera difficile car il semble que l’Italie devra y arriver avec de lourdes absences, d’autant plus compte tenu de la valeur de ses adversaires, avec des hôtes redoutables et, en cas de passage au tour suivant, probablement la Lituanie. Mais entre-temps, la convocation des Doriens Alessandro Pajola et Achille Polonara semble évidente et s’ils parvenaient à entraîner les Azzurri à Paris à ce moment-là, ils seraient également parmi ceux choisis pour l’aventure des cinq cercles sous la Tour Eiffel, reconstituant une patrouille déjà importante, même de concitoyens. Oui, car Gianmarco Tamberi et Tommaso Marini sont déjà certains d’être là à Paris : “Gimbo” a eu l’honneur d’être choisi comme porte-drapeau, établissant ainsi un nouveau record car cela n’avait pas été depuis 1988 que cette prestigieuse reconnaissance avait été accordée à un représentant de l’athlétisme. Avant lui, il y avait le grand Pietro Mennea (porte-drapeau à Séoul 1988), pas n’importe qui. En athlétisme, le minimum a également été atteint par Simone Barontini au 800.

En plus du saut en hauteur, à la recherche d’un rappel sans précédent, Ancône encouragera également Marini: le fleuret, tant dans les compétitions individuelles que par équipes, ne peut figurer parmi les favoris qu’après les triomphes des dernières saisons. Depuis les côtés de la tribune, il sera guidé par un entraîneur qui a déjà remporté deux fois les Jeux olympiques en tant qu’athlète : Stefano Cerioni de Jesi qui entraînera également Alice Volpi, une Toscane qui s’entraîne à Jesi depuis un certain temps et donc pratiquement sa camarade. citoyen. Avec le succès obtenu avec l’or individuel aux Championnats du monde du concours multiple 2022, la jeune femme de Chiaravalle Sofia Raffaeli, âgée de vingt ans, fait plutôt partie des athlètes les plus attendues en gymnastique rythmique, mais avec elle il y aura aussi Milena Baldassarri, de Ravenne. , mais a grandi à Fabriano depuis son enfance où il s’entraîne avec Raffaeli, son associé.

L’Italie s’est également qualifiée dans la compétition par équipes de gymnastique artistique masculine où concourra Lorenzo Minh Casali d’Offagna, parmi les protagonistes de l’or historique aux Championnats d’Europe 2023 avec Mario Macchiati et Matteo Levantesi de Fermo dans une équipe donc presque entièrement originaire des Marches. région. Le grand prometteur du nage libre Alessandro Ragaini a perdu son temps en décrochant la passe en natation à seulement 17 ans : le talent de Castelplanio participera au 200 nage libre. Tamberi, Barontini, Marini, Volpi, Raffaeli, Baldassarri, Casali, Ragaini, peut-être Pajola et Polonara sans oublier Leandro Mosca, né à Recanati mais élevé à Osimo, qui pourrait faire partie de l’équipe nationale de volley-ball. Même en ne comptant que les athlètes, ce sont des chiffres records et jamais vus auparavant.

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