“Après avoir entendu Comferr sur le doublement ferroviaire, la discussion sur le projet doit être rouverte”

“Après avoir entendu Comferr sur le doublement ferroviaire, la discussion sur le projet doit être rouverte”
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« La nécessité d’essayer de réactiver le dialogue avec les communautés et les comités qui demandent une nouvelle discussion sur le projet d’accélération du chemin de fer Rome-Pescara apparaît clairement, surtout à la lumière des nombreuses difficultés et des enjeux critiques du projet qui ont émergé la conférence des chefs de groupe ».

C’est ce qu’ont déclaré le conseiller régional du Parti démocrate et chef de groupe régional de ce même Antonio Di Marco et Silvio Paolucci après l’audition de la commission Comferr le 30 avril et au cours de laquelle Marco Blasioli, PDG d’Orsini&Blasioli, Katia Colalongo et Francesco Papa , président et membre du comité Comferr de Manoppello et maire de Chieti Diego Ferrara. Les délégués de RFI qui seront entendus ultérieurement ne sont pas présents.

« Le comité Comferr, représentant la municipalité de Manoppello, a demandé aux personnes présentes d’examiner sérieusement la faisabilité de la Variante plus, la seule solution qui est évidemment moins impactante tant pour le territoire que pour ses habitants et nous soutiendrons fermement cette demande – explique le deux représentants Pd -. A cet égard, il a été souligné un manquement de la Région, qui n’a pas reçu de RFI l’étude technique relative au variant, comme le demandait le décret législatif de 2022″.

« Le maire de Chieti est du même avis – ajoutent-ils –, qui partage pleinement la position de la commission : la Région doit vérifier la Variante plus, pour le bénéfice des citoyens et dans le respect de l’environnement. Concernant les problèmes critiques soulignés, Marco Blasioli a également rendu compte de la situation de son entreprise par rapport au projet RFI RFI : il existe un risque réel de fermer ses portes, de ne pas pouvoir satisfaire la production en cas de période d’inactivité liée à les travaux du tronçon ferroviaire”.

« La discussion sur les travaux du tronçon ferroviaire Pescara-Rome, ravivée par la minorité, offre à tous les intéressés une possibilité qui n’a pas été vérifiée auparavant, du moins dans la Région – poursuivent Di Marco et Paolucci – : celle de pouvoir représentent en outre la condition de désorientation à laquelle se trouve confrontée toute une vallée, confrontée à une transformation radicale de la géographie du lieu. Nous sommes avec eux et, bien entendu, pas contre le projet, car nous pensons que le rôle de la politique est et doit toujours être de vérifier les besoins concrets de ceux qui vivent dans les lieux, besoins que malheureusement les documents techniques du projet font ils ne le révèlent pas, ils ne le considèrent pas et finissent par rester ignorés. »

« L’espoir donc – concluent-ils – est que nous parvenions à un dialogue constructif entre les parties impliquées, pour éviter un gaspillage inutile de fonds et une annihilation de facto des propriétés matérielles, environnementales et professionnelles des habitants de la zone affectée par les travaux de doublement du chemin de fer”.

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