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FOLIGNO – Encore un vol dans le centre historique, encore un commerçant qui doit réparer les dégâts de sa poche et encore un voleur toujours en liberté. Et peut-être que c’est toujours la même personne qui commet les vols. Cette fois, c’est le Bar Duomo qui a été visé, à deux pas de la cathédrale de San Feliciano et à trois de la Piazza della Repubblica surplombant le Palazzo del Comune, donc le cœur du centre historique. Celui qui est intervenu a brisé, peut-être à coups de pied, la vitre qui donne sur l’espace glace du bar. Une fois à l’intérieur, la fureur du criminel s’est dirigée vers la caisse enregistreuse, que les propriétaires ont immédiatement laissée sans argent. Le fait de se retrouver les mains vides a peut-être poussé le criminel à s’en prendre aux distributeurs de cornets de glace et de gobelets. En résumé : des voleurs les mains vides et des dégâts de plus de mille euros. L’un des gérants du Duomo Bar a découvert ce qui s’était passé lors de l’ouverture du commerce dans la matinée. Depuis des semaines, le centre historique de Foligno est en proie à des vols à petite et grande échelle. On soupçonne également que l’auteur des faits pourrait être un petit groupe d’individus, dans de nombreux cas même un voleur solitaire, souvent déjà connu de la police mais physiquement en liberté. Il y aurait à la fois des plaintes et des reconnaissances, mais depuis des semaines, ce qu’on appelle aujourd’hui Diabolik enlève le sommeil à plusieurs commerçants de Foligno en tentant ou en commettant des vols, entraînant des dégâts souvent plus importants que la quantité de butin. Diabolik parce que le modus operandi serait une sorte de signature : il agit toujours, ou presque toujours, le visage à moitié couvert comme s’il portait le masque de Diabolik. Ses actions sont devenues le sujet principal de plusieurs échanges de messages entre traders. La police traque Diabolik et est constamment occupée depuis des jours à tenter de boucler le cercle autour du Mouron Écarlate qui viole les activités commerciales. Sur la base de ce qu’il a été possible d’apprendre, même si les informations sur les faits sont plutôt raréfiées, il existerait également un potentiel kit d’identification utile à l’identification du principal suspect. Il s’agit ensuite de déterminer combien de vols tentés et réalisés ont pu être commis par ce que l’on peut actuellement définir comme une sorte de mouron écarlate des vols. Les différentes images captées tant par les caméras de la Municipalité que par celles privées présentes à l’intérieur des commerces ciblés sont également analysées. Le suspect serait donc une sorte de voleur en série aux capacités criminelles peu fortes. Bref, une personne qui a besoin de liquidités et vise donc des situations qui lui rapportent quelques centaines d’euros tout en laissant une longue traînée de dégâts : portes forcées, vitres cassées et vitres dégonflées. Les incidents faisant l’objet d’une enquête sont, selon les discussions entre commerçants, une vingtaine, avec un décompte allant de la fin des derniers mois de l’année écoulée jusqu’aux dernières semaines. On a le sentiment que c’est peut-être toujours la même personne qui a agi, mais la possibilité d’un “imitateur” ne peut pas non plus être exclue. Ce qui est sûr, c’est que quiconque soulève chaque matin le volet de son magasin est à la limite de l’exaspération.
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Le Messager