Beko et Fiom Cgil Sienne inquiets de l’absence de plan industriel

Beko et Fiom Cgil Sienne inquiets de l’absence de plan industriel
Beko et Fiom Cgil Sienne inquiets de l’absence de plan industriel

Concernant les récentes déclarations sur l’avenir du site de Sienne de Beko (anciennement Whirlpool) par les secrétaires provinciaux de la FIM CISL et de l’UILM, la FIOM CGIL de Sienne, en la personne de la Secrétaire Générale Daniela Miniero et du membre RSU de l’usine Stefano Borgogni, souhaite clarifier ce qui suit.

Du communiqué de presse conjoint des secrétariats nationaux de la FIOM, de la FIM et de l’UILM, publié après la réunion au MIMIT avec le ministre Urso, a ressorti l’engagement du gouvernement à prêter attention à la situation corporative de Beko et à convoquer une réunion avec les secrétariats nationaux et territoriaux de la FIOM, FIM , UILM et UGL avec NewCo, mais il est également apparu clairement qu’aucun plan industriel n’a été présenté lors de la réunion entre le ministre Urso lui-même et le PDG de Beko et qu’à ce jour le seul instrument de protection des sites de production et du niveau d’emploi reste le Golden Power , dont le contenu nous reste cependant encore inconnu.

Eh bien, si analyser les faits et les scénarios possibles aujourd’hui, après l’entrée de Beko Europe, signifie être alarmiste, lorsqu’en septembre le secrétaire de la FIM CISL Sienne, Cesarano, a annoncé à la presse la fermeture du site de Sienne d’ici deux mois, à quelle époque ?

Si la FIM et l’UILM invitent la FIOM à faire profil bas, la FIOM les appelle à élever le niveau du débat et à ne pas recourir à des exploitations de bas niveau futiles et inutiles qui ne servent à personne et certainement pas au conflit et aux travailleurs impliqués, qui méritent le respect et une défense concrète, étroite et constante.

Si les autres syndicats sont satisfaits du sachet de graines de bon augure que la nouvelle entreprise a livré il y a un mois à tous les salariés de Viale Toselli, nous, à la FIOM CGIL, avons besoin de faits et de réponses vraies, et jusqu’à présent il n’y a que des preuves concrètes que les 299 licenciements de Beko les salariés continuent de faire des progrès et l’absence de plan industriel, ainsi qu’un blocage continu du Groupe.

Source : FIOM CGIL Sienne

Toute l’actualité de Sienne

<< Retour

PREV Trente, les dépenses pour les retraites dépassent les trois milliards mais la croissance ne suit pas l’inflation
NEXT Maignan intransférable ? SKY révèle la position de Milan