“Zéro titre” pour une femme de 33 ans de Braida qui prétendait être infirmière, jugée à Cuneo – Targatocn.it

“Zéro titre” pour une femme de 33 ans de Braida qui prétendait être infirmière, jugée à Cuneo – Targatocn.it
“Zéro titre” pour une femme de 33 ans de Braida qui prétendait être infirmière, jugée à Cuneo – Targatocn.it

La femme de Braida (née en 1991) devra répondre d’abus de profession et de faux, contre laquelle une assignation a été émise par le procureur Mario Pesucci, devant le Tribunal de Cuneo.

Il y a deux chefs d’accusation auxquels il devra répondre lors de l’audience prévue le 14 mai, devant le juge Dr. Toscano : abus de profession et faux.

Dans le premier cas, elle est accusée, par deux faits différents, d’avoir exercé illégalement la profession d’infirmière en l’absence du titre correspondant, d’avoir abandonné ses études dans le cursus d’infirmière et d’être ensuite inscrite à l’Ordre des professions infirmières (OPI). ); entre avril 2019 et octobre 2022, la femme de 33 ans a travaillé comme infirmière dans divers établissements et maisons de retraite de la province, notamment dans les réalités basées à Revello, Cavallermaggiore et Piasco.

La deuxième accusation, celle de « faux », découle du fait d’avoir faussement certifié, avec de multiples actions exécutives, qu’elle possédait un diplôme et qu’elle était inscrite à l’OPI.

Parmi les exigences de l’infirmière, le profil général comprend une figure dont les activités et les responsabilités incluent celles de veiller à l’application correcte des prescriptions thérapeutiques, pour lesquelles elle doit avoir des connaissances en pharmacologie, tandis qu’avec des stages spécifiques, l’acquisition des compétences nécessaires est garantie et est responsable de l’administration de la thérapie. Une fois le diplôme acquis, ils ont alors l’obligation de se mettre à jour.

Les enquêtes ont été menées par les Carabiniers de l’Unité de Protection Sanitaire (NAS) d’Alexandrie. Lors d’une inspection effectuée dans une maison de retraite de la province, les qualifications du personnel exerçant des fonctions dans l’établissement ont été demandées. L’armée était devenue méfiante quant à ce qui ressortait d’une vérification croisée des données. L’infirmière avait présenté plusieurs autocertifications, mais les qualifications originales manquaient. Suite à un rapport des militaires, c’est Opi lui-même qui a constaté l’absence d’inscription au Registre, tout en demandant aux universités du Piémont si la femme était diplômée. Opi a alors porté plainte auprès des carabiniers de Cuneo.

La première audience est prévue le 14 mai. L’accusé est défendu par l’avocat d’Alba, Roberto Ponzio.

PREV L’événement européen de la jeunesse EYE a été inauguré à Forlì et présente un week-end riche en événements
NEXT Il y a 91 offres d’emploi pour 201 personnalités professionnelles : nous recherchons dans la restauration et le bâtiment