Affaire Amet, Ferri intervient également dans le différend Bottaro-Nigretti

«Si Bottaro répond à Nigretti, je réponds à Bottaro.

En lisant les échanges entre le Maire et le PDG Amet, un fait très réconfortant émerge : enfin, après des années de « ténèbres », notre Corporation Municipale a un conseil d’administration corporatif…

Personnellement, j’ai apprécié la note de l’avocat Nigretti qui clarifie aux citoyens, avec la précision de quelqu’un qui dispose d’un point d’observation privilégié, comment les choses se sont déroulées et surtout prédit les futures phases délicates que traversera Amet.

L’avocat Nigretti a courageusement exprimé ses doutes sur les opérations passées et tente avec clarté d’affronter les futures, avec la responsabilité de ceux qui doivent aussi et pas seulement se soucier de la sauvegarde des salariés et de leurs familles.

Cependant, je n’ai pas apprécié la réponse que le maire a donnée à son PDG, presque comme s’il voulait lui reprocher la nécessité d’exprimer ses appréciations de manière précipitée. De plus, sur les cessions d’éclairage public à des particuliers et sur les futures cessions de parkings et de quais, le Maire se réfère aux dispositions des inspecteurs du MEF et à la Loi qui interdisent catégoriquement la cession directe aux entreprises, même celles à capital total. publiques, en réalité ce ne sont pas des sociétés internes.

Ce qui a manqué à Amet ces dernières années, c’est la continuité administrative, en effet il y a eu plusieurs conseils d’administration qui se sont succédé, dont beaucoup n’ont pas pu terminer leur mandat, interrompant la gestion de l’entreprise et rendant impossible la planification à moyen et long terme. bien que les délais soient connus et que la nécessité d’une restructuration d’Amet soit également imposée.

Il faut rappeler que, malgré le fait que le conseil municipal s’est exprimé à l’unanimité sur la nécessité de recevoir un plan industriel d’Amet, celui-ci, après environ trois ans, n’a pas encore été produit, grâce précisément à la discontinuité administrative qui en découle des valses continues des rendez-vous.

Considérant que depuis 2015 il y a la même majorité au gouvernement de la Ville et qu’elle est appelée à nommer les conseils d’administration des entreprises municipales, la responsabilité de ce qui se passe et se passera est purement politique !

Je termine par une réflexion… Le Maire précise qu’il n’existe aucune administration qui ne confierait pas des travaux ou des services aux entreprises investies si cela était possible. Alors, considérant qu’Amet n’est pas une société interne (personnellement j’ai encore quelques doutes sur ce point) pourquoi ne pas confier le stationnement payant à Amiu ?

En effet, avec la résolution du conseil municipal n. 51 du 28 juillet 2017, l’administration Bottaro a modifié le statut d’Amiu (certainement une entreprise interne), approuvé par l’Assemblée extraordinaire du 27/10/2017 en insérant dans l’article 2 « OBJET DE LA SOCIÉTÉ » dans la lettre P « gestion du stationnement terrains et parcomètres”. Pourquoi, s’il existe une solution de service interne, procédons-nous à un appel d’offres avec le risque que le service ne soit plus public ?”: déclare Andrea Ferri, chef de groupe de la FDI Trani.

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