Taxes, la réduction de 60 pour cent est également disponible pour ceux qui ne les ont pas payés – L’Aquila

Taxes, la réduction de 60 pour cent est également disponible pour ceux qui ne les ont pas payés – L’Aquila
Taxes, la réduction de 60 pour cent est également disponible pour ceux qui ne les ont pas payés – L’Aquila

L’AIGLE. La « réduction » de 60 pour cent lors du remboursement des impôts impayés en 2009-2010 (en raison de la suspension des paiements suite au tremblement de terre) est également due à ceux qui, en 2009, avaient totalement éludé l’impôt (dans ce cas précis, le contribuable qu’il n’avait pas effectivement déposé sa déclaration de revenus). C’est ce qu’a décidé la Cour suprême, réformant une sentence de la Cour d’appel fiscale.
histoire
Le contribuable en question avait reçu en 2014 un avis d’imposition de l’Agence des revenus accusant l’intéressé de ne pas avoir déclaré un revenu d’environ 40 000 euros au cours de l’exercice fiscal 2009. L’homme a reconnu une fraude fiscale, mais a demandé que le montant à payer soit réduit de 60 % “conformément aux règles d’urgence”. L’Agence des recettes a contesté le fait que « la législation d’urgence, avec application de la réduction d’impôt, ne peut être appliquée qu’aux contribuables qui ont correctement déclaré leurs revenus, et en tout cas lorsque l’impôt dû a été constaté dans la limite de la période de suspension des paiements prévue par la loi (6 avril 2009 – 30 juin 2010), alors que, dans le cas présent, l’impôt dû a été liquidé en 2014″. La Cour d’appel de la Cour fiscale a confirmé l’appel de l’Agence du revenu, réformant la décision de première instance. Or, la Cour de cassation a plutôt donné raison au contribuable, qui soutenait que « la législation d’urgence prévoyait la réduction des impôts de 60 % en faveur de ceux qui avaient leur domicile fiscal dans les communes du cratère sismique, sans faire de distinction entre les contribuables qui avaient leur domicile fiscal dans les communes du cratère sismique ». correctement rempli leurs obligations fiscales et ceux qui ne l’ont pas fait”. Pour les juges de la Haute Cour, « dans la présente affaire, l’obligation fiscale est née en 2009, quelle que soit la date à laquelle la dette a été constatée, et relève donc du champ d’application temporel de la législation d’urgence. Deuxièmement, la loi 133 de 2011 prévoit que, pour permettre la reprise après l’urgence résultant du tremblement de terre qui a frappé la région des Abruzzes le 6 avril 2009, la reprise de la collecte a lieu, sans application de sanctions, intérêts et frais supplémentaires, à travers le paiement en 120 mensualités égales à partir de janvier 2012. Le montant dû pour chaque taxe ou contribution, ou pour chaque chargement inscrit au registre, sous réserve de suspensions, net des paiements déjà effectués, est réduit de 60 pour cent. Il convient de noter que le législateur a entendu accorder la suspension des paiements et la réduction des impôts en faveur des personnes touchées par le tremblement de terre survenu dans les Abruzzes en avril 2009, sans faire de distinction entre les contribuables qui respectaient leurs obligations fiscales et ceux qui non, ils ne l’étaient pas. Si les raisons qui ont conduit le juge fiscal d’appel à opérer la distinction entre contribuables conformes et non-conformes sont compréhensibles, force est toutefois de constater que cette distinction n’a aucun fondement dans la disposition réglementaire rapportée, ni dans d’autres. Il s’ensuit que le recours formé par le contribuable doit être accueilli. La décision contestée est annulée en renvoyant au Tribunal de Justice Fiscale de Deuxième Instance des Abruzzes de procéder à un nouveau jugement, dans le respect des principes énoncés, et de déterminer le montant exact des impôts dont le contribuable est débiteur”.
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