Junior Toni Marinucci fait l’objet d’une enquête pour recel de biens volés

Ils auraient profité du tremblement de terre de 2009 pour emporter du monastère de la Bienheureuse Antonia un tabernacle en pierre datant du XVIe-XVIIe siècle, retrouvé plus tard par…

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Ils auraient profité du tremblement de terre de 2009 pour emporter du monastère de la Bienheureuse Antonia un tabernacle en pierre datant des XVIe et XVIIe siècles, retrouvé ensuite par les carabiniers de l’unité de protection du patrimoine culturel de L’Aquila. Pour cette raison, l’un des sujets présumés qui, à divers titres, a participé à l’activité de recel et de blanchiment d’argent, Toni Marinucci L’Aquila, 36 ans (assisté de l’avocat Giulio Agnelli), sera jugé pour recel et blanchiment d’œuvres d’art.

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L’Aquila, ancien tabernacle volé lors du tremblement de terre de 2009 retrouvé

L’activité est née fin août il y a deux ans, lorsque la Surintendance de l’Archéologie, des Beaux-Arts et du Paysage des Provinces de L’Aquila et Teramo et la Surintendance des Travaux Publics du Latium, des Abruzzes et de la Sardaigne, ont fait rapport à l’armée du TPC. de l’Aquila, le vol d’un tabernacle placé à l’intérieur du Monastère de la Bienheureuse Antonia, via Sassa.

Le monastère de la Bienheureuse Antonia, construit entre le XIVe et le XVe siècle, est devenu inutilisable suite au tremblement de terre du 6.4.2009. Depuis début 2023, elle fait l’objet de travaux confiés par la Surintendance, qui conduiront à sa consolidation et à sa restauration complète. L’objet, malgré le tremblement de terre, n’a subi aucun dommage et, à l’époque, il était préférable de le laisser en attendant la récupération du bâtiment, contrairement à d’autres matériaux, car il était encastré dans le mur. Mais les voleurs (actuellement inconnus) n’ont pas hésité à risquer d’endommager irrémédiablement le kiosque à journaux. L’activité d’enquête a permis d’identifier un homme de 60 ans de L’Aquila (dont la position est toujours examinée par le procureur Fabio Picuti, titulaire du dossier)retrouvé en possession du précieux artefact au terme d’une perquisition méticuleuse.

Au cours de l’interrogatoire, il a évoqué Junior Toni Marinucci, jugé comme vendeur du tabernacle. Dans sa maison, les soldats de l’Aquila pour la protection du patrimoine culturel avaient également trouvé un tableau (huile sur panneau octogonal), un demi-buste d’une Madone volé à Rimini, également d’intérêt historique et artistique. Selon l’accusation, l’apparence de l’œuvre aurait été modifiée par l’insertion d’un aspic dans le tableau afin de gêner l’identification de l’œuvre et sa provenance. Des reproches que l’accusé pourra réfuter sur ce point lors du procès prévu en octobre au tribunal de L’Aquila.

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