Vidéo dure de l’ex-internaute de 30 ans de Viterbe arrêté

Il s’agit d’un homme de 30 ans originaire de Viterbe. Elle, jeune et belle. Un couple dans la vie et dans les affaires : ensemble, ils ont mis en ligne des vidéos hard sur des plateformes pour adultes qui rapportaient plus de 7 000 euros par mois : 40 % à lui, qui discutait pour attirer des clients virtuels, et le reste à son partenaire. Jusqu’à ce que les deux se séparent et que l’homme veuille continuer à récolter les bénéfices des vidéos torrides en menaçant, en demandant de l’argent, en ne laissant plus la paix à son ex. Hier, l’épilogue, avec l’arrestation par la police pour exploitation de la prostitution, extorsion et actes de persécution.

HARCÈLEMENT

L’ordonnance de garde à vue en prison est l’acte final de l’enquête militaire, coordonnée par le parquet et née après l’intervention de routine des patrouilles des carabiniers en février. A cette occasion, la victime avait demandé l’intervention de la police après une violente dispute avec son ex-conjoint, dont elle s’était récemment séparée. Le trentenaire originaire de Viterbe s’était en effet présenté à la maison de manière harcelante. Cependant, lors de la première tentative, rien ne s’est produit : l’homme s’était caché à l’arrivée des soldats, puis s’est présenté de nouveau chez la femme, qui a de nouveau demandé de l’aide. De là, il a été identifié et les premiers contrôles ont commencé. Au cours de ces enquêtes, également grâce à la collaboration de la femme, les militaires ont reconstitué l’histoire : elle, avec l’aide de son ex, a produit et partagé des vidéos hard sur plusieurs plateformes pour adultes. Images sexuellement explicites. Le rôle du trentenaire était d’interagir avec les clients des plateformes, de les contacter et de leur montrer la grille tarifaire des différentes représentations. Mais surtout, en se faisant passer pour la femme, il les séduisait.

COLLABORATION

À un moment donné, l’histoire d’amour s’est terminée. Cependant, il a commencé à se comporter avec elle avec une violence verbale extrême et à exiger de continuer à partager des affaires. Parce qu’ils étaient rentables : 40 % des revenus totaux des services en ligne lui revenaient et s’élevaient à un chiffre qui oscillait entre 500 et 800 euros par semaine, atteignant une moyenne mensuelle d’environ 3 mille euros net.

L’ÉPILOGUE

Bref, la fin de la relation n’a pas découragé son ex-compagne, bien au contraire : pour ne pas être exclu de l’activité il allait jusqu’à la menacer à plusieurs reprises si elle l’excluait de ses prestations sociales. Puis, en compensation de l’interruption de la collaboration, il est allé jusqu’à exiger 32 mille euros. Une menace d’extorsion contre la jeune fille qui a été perpétrée pendant une longue période, qui, combinée au comportement de persécution révélé au cours de l’enquête policière, a conduit le parquet de Viterbe à prononcer immédiatement la mesure restrictive de prison contre son ex-conjoint, immédiatement effectués par les militaires.

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