Gestion des cimetières, une facture de 200 mille euros

L’AFFAIRE

Une transaction de 200 mille euros, contre un sort certain de 573 mille euros, plus frais juridiques, intérêts, réévaluations, charges, pour travaux et services fournis aux cimetières de Latina par une entreprise, sans que l’administration ait renouvelé les contrats, émis des déterminations d’engagement, mais pas même un avertissement indiquant qu’il ne fournirait plus les services ; en effet, pour certains postes, émettre des ordres verbaux de maintien. C’est une question complexe qui est arrivée hier à la Commission Budgétaire de la Commune de Latina, si complexe que les commissaires, après une longue discussion, ont préféré la reporter pour une enquête plus approfondie.

L’histoire commence en 2007, lorsque l’entreprise commence à réaliser, par contrats et missions, des travaux de maintenance, mais aussi des services tels que l’accueil des citoyens, la circulation des corps, mais aussi l’accueil des corps reçus par la police judiciaire dans le En cas de décès sur le territoire communal avec les corps non réclamés par personne. Travaux et services réalisés dans les deux structures du cimetière municipal, celui urbain et celui de Borgo Montello. En ce qui concerne ce dernier, le non-paiement signalé s’élève à un peu plus de 8 mille euros, pour 4 factures impayées de 2010. Le problème plus large est lié au cimetière urbain, pour lequel en 2009 la municipalité a approuvé le projet de financement avec l’accord correspondant pour l’agrandissement et la gestion du cimetière urbain par Ipogeo. Les contrats ne sont pas renouvelés et les décisions d’engagement ne sont pas émises, mais l’entreprise continue à travailler de manière continue, en vertu des contrats antérieurs, avec un bureau au cimetière, également grâce – selon les témoignages – aux mandats verbaux des dirigeants de l’époque. la Municipalité (un en particulier, décédé depuis), notamment en ce qui concerne la gestion de la salle d’autopsie. Jusqu’en 2014, où la Municipalité a tout bloqué. L’entreprise envoie alors les factures, qui sont aussitôt contestées par l’administration.

Pour le cimetière urbain, la demande fait trembler : 387 420 euros de prestations plus 177 510 euros d’entretien. L’entreprise poursuit la municipalité, et nous arrivons à 2023, lorsque le juge, face également aux témoignages des travailleurs et aux preuves documentaires comme les procès-verbaux de la police judiciaire sur la remise des corps aux employés, établit les raisons de l’entreprise, également émettre une ordonnance de règlement entre les parties. Transaction qui démarre à partir de 573 mille euros, à laquelle il faut ensuite ajouter les frais de justice, intérêts, réévaluations et autres charges : l’entreprise demande 400 mille euros, la Commune offre 89 mille, pour finalement clôturer à 200 mille. Il doit être payé avant le 30 juin, comme les bureaux l’ont insisté hier, mais les conseillers municipaux veulent y voir clair, d’autant plus qu’une transaction (qui doit être votée par les conseillers) est un acte qui peut toujours risquer d’être vérifié. par la Cour des comptes. Voici donc le report, probablement à vendredi matin.

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