« Salle d’urgence, les couvertures et le Tachipirina ne sont pas disponibles »

FANO – «Désolé, j’ai très mal, puis-je avoir une Tachipirina ?». “Non, nous ne l’avons pas.” « Infirmière, mon bébé là-bas sur la civière a froid,…

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FANO – «Désolé, j’ai très mal, puis-je avoir une Tachipirina ?». “Non, nous ne l’avons pas.” « Infirmière, mon enfant a froid là-bas, sur la civière, puis-je avoir une couverture ? ». « Non, nous n’avons pas de couvertures. L’entreprise ne les transmet pas. »

La situation

Rita Fusco, une dame qui a accompagné son mari aux urgences de l’hôpital Santa Croce dans la nuit du 3 mai, a été choquée par la situation environnementale rencontrée. Cette fois, il ne s’agit pas des longues heures d’attente, qui persistent encore, justifiées, comme chacun le sait désormais, par la nécessité d’assurer la priorité à ceux qui se trouvent dans des conditions plus critiques, à qui l’on garantit le droit d’accéder au traitement avant celui qui a c’est ce qui attend d’être visité depuis le plus longtemps. «Du sol de la salle d’attente, bondée de patients résignés, rafistolés avec un collage de morceaux de linoléum, de carton et de lambeaux de plastique collés les uns aux autres avec du ruban adhésif. Ici, constata-t-il, la nervosité est à son comble. Deux gardes armés errent parmi les patients, prêts à réprimer les situations d’urgence. Une dame élève quand même la voix et la police est appelée, qui intervient peu après et demande à tout le monde d’être patient. Un couple de parents arrive avec un très petit enfant. Dès qu’ils réalisent où ils sont arrivés, ils partent furieux chercher de l’aide ailleurs. Une dame âgée essaie d’aller aux toilettes mais la saleté devant elle l’oblige à s’asseoir dans la salle d’attente. Malgré l’engagement impeccable du personnel et des médecins, qui font tout leur possible pour répondre aux besoins des usagers, cette salle d’urgence apparaît totalement inadéquate au respect qui, dans un pays normal, serait dû non seulement, en premier lieu, aux patients. dans des conditions difficiles et dans le besoin, mais à tout citoyen qui mérite des soins de santé très différents de celui-ci”. Comme mentionné ci-dessus, personne n’est ému par les services de santé qui, en ce qui concerne l’aspect qualité, ne sont pas remis en question, ce qui est contesté, c’est l’aspect environnemental qui, dans un secteur comme celui-ci, devrait être plus accueillant et qualifié. Cela dit, la dame lance un appel aux politiques, en particulier à la Région dont dépend la santé, mais aussi à tous les candidats aux prochaines élections locales, à s’engager à rendre plus accueillant un service très délicat, car accessible dans un moment de fragilité physique et émotionnelle et d’une grande utilité.

L’attente

Il est vrai que la Région a annoncé la construction d’un nouveau bâtiment pour les urgences et les urgences, mais nous ne pouvons pas attendre la fin des travaux, étant donné que les travaux n’ont pas encore commencé, laissant inchangée la situation actuelle des urgences.

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Courrier Adriatique

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