This Is The End, l’exposition à Monza et ses artistes : Camilla Marinoni

This Is The End, l’exposition à Monza et ses artistes : Camilla Marinoni
This Is The End, l’exposition à Monza et ses artistes : Camilla Marinoni

Compte à rebours jusqu’au montrerC’est la fin” qu’un groupe d’artistes a promu par la base, trouvant, petit à petit, un réseau de collaborations de plus en plus large, y compris celui de Citoyen qui est le partenaire média du projet. Le rendez-vous est à Palais Royal de Monzadans la salle de conférence (à côté du théâtre) à partir de 19 mai et jusqu’au 9 juinavec inauguration samedi 18 à 16h30.

Le collectif rassemble les œuvres de Elisa Cella, Nicola Evangelisti, Nadia Galbiati, Roberto Ghezzi, Elena Ketra, Camilla Marinoni, Andrea Meregalli, Gabriele Micalizzi, Silvia Serenari, Matteo Suffrittiqu’ils ont créé à cet effet l’association culturelle Et comme une nouvelle réalité promouvant les initiatives artistiques et propose dans le titre, la chanson des Doors également présente dans la bande originale de Apocalypse maintenant de Coppola : ce film est dans son ADN Cœur des ténèbres de Joseph Conrad : deux œuvres, rappellent les artistes, qui «ils te font réfléchirhorreur, sur la folie et la psychologie humaine. En fait, l’exposition se veut être un cri proposé par les artistes, qui ont toujours été sensibles aux vibrations que produit le monde et gardiens de leur réélaboration”. L’art – écrivent-ils – agit comme un moyen de relier les différentes sciences impliquées, interroge le présent et appelle les professionnels et le public à une réflexion collective pour affronter les défis de l’avenir. Voici les profils des artistes.

This Is The End, l’exposition à Monza et ses artistes : qui est Camilla Marinoni

Camilla Marinoni

Artiste: Camilla Marinoni
Thème: féminicide (et beauté)

Camilla Marinoni (1979) est un artiste visuel. Vit et travaille en Italie. En 2003, il obtient son diplôme de sculpture à l’académie de Beaux-arts de Brera à Milan et en 2007 il obtient un diplôme de spécialisation en art sacré contemporain de la même académie.

En 2007, il a participé au cours d’excellence en sculpture, bijouterie et design au Centre Tam de Pietrarubbia (Pu) dans la région des Marchesprésidé par Tomate Arnaldo et sous la direction artistique de Nunzio di Stefano. Ici, à travers la comparaison avec Nunzio, il commence à se concentrer sur le corps comme moyen d’expression avec lequel faire dialoguer sculptures et installations. En 2018 il explore le thème de la performance et de l’art corporel en participant à l’atelier “Théorie et pratique de l’art de la performance» au FactoriaLab de Madrid avec l’artiste Abel Azcona et en 2019 à l’atelier « Free unicorn » au GAMEC de Bergame avec l’artiste/actrice Chiara Bersani.

Au centre du travail de Camilla Marinoni il y a une histoire intime et personnelle faisant référence aux aspects sociaux et spirituels de la vie quotidienne et que l’on vit inévitablement. Le corps, blessé, soigné et éviscéré, plongé entre finitude et attenduest le point de départ et le thème qui émerge de sa recherche et qui cherche à être un stimulant pour une réflexion sur le sens de notre existence.

Parmi les derniers des expositions nous soulignons : Archéologies du contemporain. Inaugurations, au Musée Archéologique Priamar, Savone, organisées par Livia Savorelli ; BAW, Bolzano Art Weeks – Memento/Moment(o)/Monument(o), Maria Heim, Bolzano, organisée par Nina Stricker ; Luce, Palazzo Costantino et di Napoli, Palerme, commissaire Valerio Dehò, Palerme ; Anàstasi – Turbamenti, immersions, attentes, renaissances, Galleria Giovanni Bonelli, Pietrasanta (LU) ; Aux cendres silencieuses je chante, Fondazione Vittorio Leonesio, Puegnago del Garda (BS), organisée par Mariacristina Maccarinelli.

Il est finaliste du Prix ​​Paul VI (2023)e au Prix Exibart (2020 et 2021) ; c’est une artiste rapportée à Prix ​​​​de combat (2022) et a reçu trois prix à la Coupe Arteam (2019 et 2020/2021). Des œuvres permanentes sont présentes dans la collection Mercedes Benz (Milan), au Musée Bernareggi (Bergame), au Musée Montali (Alba) ; au Musée Gianetti (Saronno) et dans certaines églises de la province de Bergame et Cuneo.

Professionnel impliqué: Bona GavazziFondatrice et ancienne résidente du Centre d’Aide aux Femmes Abusées (Cadom) Monza

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