Justice escargot à Catane, il a été accusé d’actes sexuels: l’appel

Justice escargot à Catane, il a été accusé d’actes sexuels: l’appel
Justice escargot à Catane, il a été accusé d’actes sexuels: l’appel

07 mai 2024, 14h00

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CATANE – Il a été victime d’une affaire sensationnelle de justice escargot, avec une condamnation arrivée 8 ans après les faits. Pendant tout ce temps, il a dû répondre de l’accusation d’être un agresseur d’enfants. Une accusation qui s’est effondrée lors du procès. Aujourd’hui, des mois plus tard, la sentence est définitive.

Aujourd’hui, son avocat, Pietro Ivan Maravigna, a décidé de poursuivre l’État en justice. La défense demande un dommages-intérêts pour la durée déraisonnable du procès. « La logique des codes rouges – affirme l’avocat – doit être étendue également aux accusés, lorsqu’il y a un doute sur leur innocence, comme mon client ».

La demande

« Nous demandons une compensation, parce que nous pensons que la justice dans cette affaire est arrivée, mais très tard – continue l’avocat Maravigna -. Un processus qui a produit l’anéantissement psychologique de l’accusé. Accusé dont la rectitude a également convaincu le ministère public de demander l’acquittement.”

Déjà au lendemain du jugement, l’avocat avait exprimé son amertume. « Déjà dans la phase d’enquête préliminaire, nous avons été témoins d’un fureur excessive envers mon client – souligne-t-il – malgré les invitations du juge d’instruction à faire preuve d’une plus grande prudence dans l’évaluation des déclarations du mineur ».

Les interceptions

Les accusations portées contre lui, comme indiqué, étaient diffamatoires. Il était accusé d’actes sexuels avec une mineure et de corruption de mineure. Il a été accusé d’avoir agressé la fille de 13 ans de sa compagne. Mais dans la salle d’audience, l’accusation a échoué face aux preuves des écoutes téléphoniques.

A partir des conversations enregistrées, en pratique, le tentative par d’autres de faire accuser la jeune fille à tort. L’homme, SA, a été acquitté en octobre. Comme mentionné, outre le défenseur, la procureure Martina Bonfiglio a elle-même demandé l’acquittement.

Les accusations

Les faits, ayant « forcé la fille de son partenaire à subir des actes sexuels », remontent à la période comprise entre l’été 2014 et janvier 2015. « Certes, la plus grande attention doit être accordée à tout type d’abus contre des sujets faibles – conclut-il, amèrement, l’avocat pénaliste de Catane – mais en plaçant le le plus grand scrupule dans la recherche et l’identification des « faux abus » ».

Une fausse plainte, selon l’avocat Maravigna, “peut détruire un individu”. C’est « une phrase qui arrive après sept ans, elle ne peut que partiellement limiter les dégâts».

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Publié le

07 mai 2024, 14h00

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