Rimini, Cernigoi réalise le coup d’État. Gubbio éliminé : maintenant il y a Pérouse

Rimini, Cernigoi réalise le coup d’État. Gubbio éliminé : maintenant il y a Pérouse
Rimini, Cernigoi réalise le coup d’État. Gubbio éliminé : maintenant il y a Pérouse

Gubbio

0

Rimini

1

(4-3-1-2) : grec ; Corsinelli (42′ rue Spina), Tozzuolo, Signorini, Mercadante ; Mercati, Rosaia, Chierico (32′ rue Bumbu) ; Di Massimo (35′ rue Desogus) ; Udoh (32′ rue Pirrello), Bernardotto. Disponibles : Vettorel, Casolari, Desogus, Calabrese, Morelli, Dimarco, Guerrini, Galeandro. Tous.: Braglia.

RIMINI (4-3-3) : Colombie ; Megelaitis, Lepri (38′ rue Cernigoi), Gorelli, Semeraro ; Langella, Sala (30′ rue Marchesi), Garetto (30′ rue Ubaldi) ; Lamesta, Morra (42′ rue Tofanari), Malagrida (30′ rue Capanni). Disponibles : Colombo, De Lucci, Delcarro, Oddi, Gigli, Leoncini. Tous.: Troise.

Arbitre : Giuseppe Mucera de Palerme. Assistants : Francesco Romano d’Isernia et Marco Colaianni de Bari. Quatrième officiel : Giorgio Bozzetto de Bergame. Var : Francesco Meraviglia de Pistoia. Avar : Giacomo Camplone de Ferrare.

Réseau : 40′ st Cernigoi.

Notes – Participation : 1 442 (362 invités). Coins 5-1. Réservé : Chierico, Sala, Marchesi, Braglia (entraîneur Gubbio). Temps de récupération : 1ère mi-temps et 5ème mi-temps.

Cela n’arrive pas, mais si cela arrive. C’est arrivé. Le premier but de Cernigoi de la saison leur a valu le deuxième tour des séries éliminatoires. Le but de l’attaquant contre Rimini a suffi à renverser tous les pronostics contre Gubbio.

Pas de Gigli en défense. Troise doit donc abandonner ses deux défenseurs centraux titulaires avec Pietrangeli assis dans les tribunes. Un duo presque inédit formé par Gorelli et Lepri (ils n’avaient joué ensemble qu’une seule fois, lors de la huitième journée de championnat, lors de ce match à oublier à domicile contre Recanatese qui a coûté son banc à Raimondi) devant Colombi. Megelaitis est préféré à Tofanari sur le couloir droit et en attaque Malagrida à Capanni. Petite phase d’étude, puis quand Gubbio accélère il est capable de faire des dégâts. Le premier frisson après 13 minutes, juste au moment où Mercati décoche de loin une frappe puissante. Colombi enfile ses gants, juste assez pour pousser le ballon sur la barre transversale. Colombi sert à nouveau, à la demi-heure de jeu, quand Udoh trouve le cadre de la tête. Le capitaine de Rimini envoie littéralement le ballon hors du but tandis que les rossoblù demandent le but. Des protestations qui, pour l’arbitre, rentrent par une oreille et ressortent par l’autre. Rimini a aussi ses petites chances lorsqu’il tente de s’échapper, mais en réalité Greco ne se salit jamais les gants.

Rimini plus vivant en seconde période. Et le forçage rouge et blanc, bien que peu productif, fait peur à Gubbio qui, au fil des minutes, sent le poids de la ligne d’arrivée qui approche. Troise, quand le temps commence à manquer et qu’un match nul sonne comme une condamnation, essayez de varier le thème. À l’intérieur de Marchesi, Ubaldi et Capanni. Rimini avec traction avant car le temps presse et il faut un but pour remporter le deuxième tour. Tout est pour tout, alors qu’il en reste huit, lorsque Troise décide de jouer également le quatrième attaquant. Voici Cernigoï. Premier ballon touché du match et premier but de l’année pour l’attaquant lombard en rouge et blanc. Très attendu, arrivé au bon moment. Le plus juste. Et maintenant tout le monde à Pérouse.

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