Trains, tronçon ferroviaire Bologne-Castel Bolognese x 4 : à partir de 2026

Trains, tronçon ferroviaire Bologne-Castel Bolognese x 4 : à partir de 2026
Trains, tronçon ferroviaire Bologne-Castel Bolognese x 4 : à partir de 2026

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Un travail d’une valeur de 3,6 milliards d’euros entièrement financé et qui, pour le vice-ministre des Transports Edoardo Rixi, constitue “une infrastructure fondamentale pour relancer non seulement l’Émilie-Romagne, mais aussi les Marches et toute la côte Adriatique”.

Comme le rapporte Dire, le débat public s’ouvre aujourd’hui pour le quadruplement du Tronçon ferroviaire Bologne-Castel Bolognese ce qui entraînera la séparation de la ligne à grande vitesse de la ligne historique.

Comme le rapporte Dire, le débat public s’ouvre aujourd’hui pour le renforcement du tracé qui conduira à séparer la grande vitesse de la ligne historique. “Une infrastructure fondamentale, pour relancer non seulement l’Émilie-Romagne, mais aussi les Marches et toute la côte Adriatique”, a déclaré à la presse le vice-ministre des Transports Edoardo Rixi, une intervention préparatoire pour ce qui concerne toute la ligne Bologne-Bologne Lecce, donc “si cela “Tout ne démarre pas, toute la côte Adriatique sera retardée”.

Fois

Le débat public et le processus d’autorisation se dérouleront jusqu’en 2025, tandis que les travaux débuteront en 2026 pour une durée de cinq ans, donc jusqu’en 2031.

Le travail et le voyage

Le projet atteint Castel Bolognese et se poursuit en interconnectant la ligne Adriatique vers Rimini et la zone portuaire de Ravenne où circulent 9 000 trains par an.

Une nouvelle paire de voies qui, dans les intentions de la Région et de RFI, entraînera moins d’attentes et plus de convois, également pour le transport de marchandises pour soutenir le port de Ravenne.

Il serait développé à côté du corridor autoroutier au lieu de la voie ferrée ; il est prévu de sortir vers le sud à Bologne, le long de celui-ci, sur sept kilomètres.

Trois itinéraires alternatifs :

– à proximité de l’A14, plus au nord et plus au sud. Avec le débat public, conclut-il, un « projet partagé » va se construire avec les parties prenantes. L’objectif, explique la responsable Andrea Pillon, est de présenter le projet aux institutions et aux territoires. D’ici deux mois, explique-t-il, quatre réunions publiques et trois réunions techniques auront lieu avec les administrations concernées. Avec un rapport final sur les suggestions, propositions et questions critiques qui ont émergé. RFI aura alors deux mois pour produire le document final puis le processus de conception s’ouvrira avec un démarrage des travaux prévu en 2026.

A côté de la ligne actuelle et en variante, la seconde, “également face à l’inondation”, est préférable car elle a un moindre impact sur le réseau hydraulique, même si “une réflexion sur la consommation des sols” s’impose. Certes, conclut-il, toute la ligne Adriatique sera “débouchée”, affirment la Région et RFI.

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