A échappé à cinq millions d’euros en travaillant comme escorte sur la Côte d’Azur, peine demandée • newsrimini.it

A échappé à cinq millions d’euros en travaillant comme escorte sur la Côte d’Azur, peine demandée • newsrimini.it
A échappé à cinq millions d’euros en travaillant comme escorte sur la Côte d’Azur, peine demandée • newsrimini.it

Un week-end en sa compagnie pourrait coûter jusqu’à cinq mille euros. Des chiffres ahurissants, ceux gagnés par un seul escorte de luxe, de nationalité hongroise, aujourd’hui âgée de 43 ans et résidant aux Emirats Arabes Unis. Mais au moment de l’enquête de la police financière de Rimini, il vivait à Riccione et travaillait principalement sur la Riviera uniquement avec une clientèle de luxe disposant de ressources économiques considérables. C’est grâce à cette exigence, ainsi qu’à sa beauté envoûtante, que l’escorte a réussi à mettre sur pied un trésor de 5 millions d’euros, de 2010 à 2014, volé au fisc. L’argent a d’abord été transféré à Saint-Marin, puis a transité par la Principauté de Monaco et enfin déposé sur un compte courant à Dubaï, où elle a déménagé il y a quelques années et d’où elle n’a pas l’intention de déménager.

En fait, elle n’a jamais été présente au procès au cours duquel elle a été inculpée devant le tribunal unique de Rimini pour non-déclaration de revenus et de TVA. Mais dans la salle d’audience, il y avait son défenseur, l’avocat Stefano Carolice qui, comparé à un demande d’une peine de 2 ans et 3 mois de prison avancé par le ministère public, a demandé l’acquittement de son client pour inutilisabilité des preuves recueillies pendant la phase d’enquête, car les droits de la défense auraient été violés, comme la possibilité de désigner un avocat au moment de la saisie des comptes bancaires italiens. En outre, l’escorte a toujours soutenu qu’elle voulait ouvrir un numéro de TVA, afin de déclarer ses revenus, mais qu’elle n’y est jamais parvenue car sa profession n’est pas reconnue par l’État italien.

Et dire que la procédure en cours contre la Hongroise de 43 ans est née de l’un des siens tentative maladroite de se disculper de l’accusation de vol qualifié de 100 euros commis contre un client en 2015. Lorsqu’elle a été entendue au tribunal, l’escorte a expliqué à l’époque : “Je n’ai besoin de voler de l’argent à personne puisque j’ai plus de 800 mille euros sur mon compte”. Un but contre son camp qui a conduit le parquet à ouvrir une enquête, qui a abouti aujourd’hui au procès pour fraude fiscale. Le verdict est attendu le 22 octobre.

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