«Plus de décorum pour garantir une ville sûre» – L’Aquila

L’AIGLE. La sécurité, la vie nocturne et la bienséance du centre historique ont été parmi les thèmes au centre d’une réunion institutionnelle tenue à la préfecture. La délégation du PD était composée du sénateur Michele Finapar le secrétaire Nello Avellanipar le conseiller régional Pierpaolo Pietrucci et les conseillers municipaux Stefano Albano, Stefania Pezzopane Et Stefano Palumbo.
«Nous remercions le préfet Giancarlo Di Vincenzo» ; fait savoir le Parti démocrate, «pour avoir accepté notre demande, et pour avoir voulu le chef de cabinet à la table des discussions» Sergio Di Ioriole commissaire Enrico De Simoneles commandants provinciaux des carabiniers, Nicolas Miranteet Finances, Côme Lamanuzzi. Ce qui nous a poussé à demander une réunion, ce sont les demandes des citoyens qui se plaignent depuis un certain temps d’une augmentation des phénomènes déviants, exprimant leurs craintes et leurs craintes, ainsi que leurs inquiétudes face à certains événements récents qui ne se sont jamais produits dans la ville. À la table, nous avons partagé combien il existe, en effet, une perception répandue d’insécurité de la part des villes et des citoyens, ce qui, politiquement, nous inquiète beaucoup, s’il est vrai qu’il pourrait compromettre une pleine renaissance de la ville, et du centre historique en particulier. C’est pourquoi nous avons apprécié l’activité de prévention et de dissuasion mise en œuvre par la police, qui nous a illustré les nombreuses actions menées sous la coordination de la préfecture pour garantir la sécurité du territoire, avec des résultats réconfortants s’il est vrai qu’en l’année dernière, dans la province, les crimes ont diminué de 12%. Le préfet et la police ont fait preuve d’une forte synergie, expliquant comment, sans baisser la garde, la ville peut aujourd’hui se définir comme sûre”.
«Nous dénonçons à nouveau», poursuivent les représentants de l’opposition, «l’attitude imprudente de certains représentants politiques de centre-droit qui, ces derniers mois, étaient allés jusqu’à proposer l’intervention de l’armée dans les rues, évoquant même la présence dans le centre historique des « policiers en tenue anti-émeute » ; le thème en est un autre, comme nous le répétons depuis un certain temps, celui de l’urgence d’une intervention politique capable d’avoir un impact sur les raisons qui justifient la perception d’insécurité. Nous sommes préoccupés par le manque total d’attention portée à la dimension sociale. L’espace public doit être récupéré comme lieu de rencontre, de socialisation et de culture, en particulier pour les jeunes générations qui, aujourd’hui, dans le centre historique comme dans les banlieues, n’ont pas d’alternative à ce qu’on appelle la « vie nocturne ». Nous devons nous inquiéter de l’absence de centres culturels, de bibliothèques, de cinémas, d’espaces ouverts et gratuits dont les jeunes générations ont profondément besoin pour leur croissance. Nous pensons également qu’il faut mener des interventions sociales et d’inclusion, destinées aux groupes les plus vulnérables et marginaux : en ce sens, une collaboration plus structurée devrait être initiée avec l’ensemble du monde associatif actif dans la ville. Nous devons nous préoccuper de prendre soin des espaces publics pour les rendre accessibles aux citoyens et d’éclairer les espaces sombres et abandonnés. Il nous faut une table permanente de concertation et de planification avec les habitants, les professionnels et les commerçants, en présence des délégués de la majorité et de l’opposition.”

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