il faut de l’argent pour le restylage. Entreprise au profit de la Municipalité

Entre les lumières comme celles du travail à nouveau au Palatulimieri de Salerne avec l’usine qui s’est effondrée en février et l’obscurité du manque de fonds dans les caisses de la municipalité pour…

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Parmi les lumières comme celles qui travaillent à nouveau au Palatulimieri de Salerne avec l’installation qui s’est effondrée en février et l’obscurité du manque de fonds dans les caisses de la municipalité pour l’entretien, la gestion et la rénovation des installations sportives, ce sont les petits pas et les étincelles qui tentent de s’allumer pour démarrer un nouveau processus dans une ville qui a en son centre une activité sportive et sociale qui dépasse les limites de la via Allende et du… prince des stades. La première ampoule est celle des particuliers ou des entreprises qui utilisent les structures, qui en revanche – souvent – n’ont pas trouvé de retours positifs, surtout après les nombreux et divers problèmes survenus ces dernières années au niveau des piscines, des gymnases, des salles de sport et des terrains. La machine administrative du Palazzo Guerra surveille la situation – parfois tragique – des structures et met sur la table toutes les solutions possibles qui ne servent souvent qu’à limiter les limites (économiques) du possible.

Mais d’un autre côté, le côté politique, technique et administratif accepte les propositions, même celles des financement de projets: c’est le cas de Rares Nantais qui – comme l’indique une décision publiée sur le site officiel de l’institution – a présenté le mois dernier un projet de rénovation et de démarrage de l’entretien de la piscine Nicodemi, via Luigi Guercio, utilisée – en collaboration avec le Simone Vitale de Torrione – pour l’entraînement de water-polo et les jeunes nageurs de demain. Le club sportif est en effet déjà concessionnaire de l’équipement municipal et donc, avec un plus grand engagement (à ses frais, ndlr), il souhaite améliorer ses services et sa fonctionnalité, en gardant un œil sur l’efficacité énergétique. Avec le document publié par l’institution via Roma en effet, la commission de jugement a été nommée qui devra vérifier le projet pour l’approbation finale. Tout est dans une phase embryonnaire avec une plongée en préparation qui ferait respirer tout le monde, après l’apnée des dernières années, avec la constitution du groupe de techniciens et de managers des différents secteurs appelés à former la commission qui devra donner le feu vert d’ici le 31 mai à la phase suivante et donc aux travaux.

Torrione, Simone Vitale, ne vit pas de moments heureux et certainement pas pour les compétitions sportives qui donnent plutôt satisfaction. La structure est dans une situation désespérée depuis un certain temps et il faudrait une somme très importante à la disposition de l’institution pour retrouver sa forme parfaite. Une course à la couverture avec des solutions provisoires qui ne sont peut-être plus utiles et qui se heurtent souvent aux besoins des entreprises qui doivent utiliser les systèmes dans des conditions déficientes et défavorables. L’alarme ressentie depuis un moment par Roller qui joue son championnat à l’intérieur du Palatulimieri, le bâtiment adjacent au terrain de Volpe, qui – avant de comprendre quel sera son sort pour les travaux qui affecteront la zone et donc le conséquent et éventuel déplacement du bâtiment – en février avait littéralement éteint les lumières. Le système électrique coûte environ 35 mille euros à l’établissement avec une entreprise extérieure qui a réalisé les travaux après une attribution spécifique « réduite ». En effet, « actuellement, l’administration ne dispose pas des ressources humaines et des équipements nécessaires pour gérer directement les travaux de maintenance ordinaire et extraordinaire des systèmes ».

Un manque de gestion et d’entretien auquel doivent faire face même les nombreux emplacements du quartier qui nécessitent une plus grande attention. Cette dernière pourrait être l’affaire de particuliers : la proposition émane en effet également de la commission des sports dirigée par l’édile Rino Avella il est sur les bureaux des experts en attente d’être évalué. En face de celui de via Ligea, l’entrée est interdite depuis des mois en raison de l’inutilisabilité de la clôture, tandis que celui de via Vinciprova, bien que utilisable, nécessite un relookage et un entretien presque quotidien que la municipalité – apparemment – ne peut pas se permettre. Et après les nouvelles surfaces gazonnées de De Gasperi et Settembrino il y a de l’attente pour les nouveaux vestiaires et sanitaires qui seront refaits grâce à un prêt du Pnrr pour les petits travaux. Dans quelques jours, l’appel d’offres pourrait être attribué à l’entreprise qui rénovera les espaces internes (actuellement interdits d’accès malgré la reprise des formations) et il faudra probablement encore 60 jours avant qu’ils puissent être à nouveau utilisés.

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