Trento, bat sa compagne et son nouveau-né : éloigné de la maison

Trento, bat sa compagne et son nouveau-né : éloigné de la maison
Trento, bat sa compagne et son nouveau-né : éloigné de la maison

Les récents épisodes d’actualité nous l’ont bien appris : lorsqu’une femme se sent en danger, menacée par son partenaire (ou une connaissance) violent, une intervention rapide peut faire la différence. Quelques jours ont suffi pour que le commissariat de Trente intervienne et signale une affaire qui, parvenue à la table du juge d’instruction préliminaire, a conduit à l’éloignement d’un homme de 37 ans. Lui, un professionnel de santé d’origine colombienne, résidant à Trente, avait attaqué à plusieurs reprises sa compagne, un peu plus jeune, mettant également en danger la sécurité de son fils nouveau-né, âgé de neuf mois à peine. L’épisode le plus grave remonte à fin avril. À cette occasion, l’homme s’est mis en colère, giflant et frappant son partenaire. La femme s’est retrouvée à terre, il l’a traînée par les cheveux : pendant qu’elle tenait le nouveau-né dans ses bras. Un éclat qui a culminé avec une scène de jalousie, au cours de laquelle il avait jeté des couverts et de la vaisselle en l’air. Puis il lui a arraché son téléphone portable des mains : pour vérifier les messages suspects et lui dire de ne plus revoir personne. C’est la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. En fait, les violences se répètent depuis 2022. Cette année-là, cet été-là, lors d’une autre dispute, il l’avait agressée en lui faisant se cogner la tête contre le bidet. Enfin, deux épisodes se sont produits l’hiver dernier : un jour, à la suite d’une dispute qui avait éclaté pour une raison banale (il était censé l’accompagner au travail), il l’avait, là aussi, jetée à terre et traînée par les cheveux. . Puis, un soir, le conjoint violent était rentré chez lui tard dans la nuit : en raison d’un engagement professionnel, avait-il dit. En réalité – les policiers l’ont découvert – il revenait d’une fête complètement ivre : dans ce cas également, il y avait eu une agression physique et verbale. Les actes de violence, en effet, étaient « assaisonnés » d’insultes allant de « être inutile » à « parasite », avec d’autres termes irremplaçables. Un concentré de haine qui n’a même pas épargné le harcèlement : l’homme de 37 ans a toujours voulu savoir où se trouvait la femme, qui elle voyait et l’a traquée à l’aide d’applications pour téléphones portables. Mardi, l’arrêté d’expulsion a été prononcé pour l’OSS, enquêté pour mauvais traitements : il devra maintenir une distance de 200 mètres avec la femme et l’enfant, légèrement blessés. La mère et le fils ont été hébergés dans une maison sûre. En cas d’infraction, l’homme risque le bracelet électronique.

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