Terni : casse les côtes de sa femme au plus fort d’une vie de violence. Condamné à 48 ans

Terni : casse les côtes de sa femme au plus fort d’une vie de violence. Condamné à 48 ans
Terni : casse les côtes de sa femme au plus fort d’une vie de violence. Condamné à 48 ans

09 mai 2024 23h27

Trois ans et quatre mois d’emprisonnement, outre des peines complémentaires et des frais. C’est la peine infligée par la juge d’instruction de Terni Barbara Di Giovannantonio, avec les méthodes de la procédure abrégée, à un transporteur de 48 ans de nationalité roumaine résidant à Terni. L’homme, accusé de mauvais traitements et de blessures envers son épouse – une quinquagénaire de Terni – et de mauvais traitements envers ses deux enfants mineurs, il a été arrêté la veille de Noël dernière par des officiers de la Terni Flying Squad, qui est intervenu au domicile familial de Campomicciolo suite à l’alarme déclenchée par l’un des deux enfants du couple. Depuis lors, l’homme est incarcéré à la prison de Vocabolo Sabbione et mercredi est arrivé le verdict du procès dans lequel il était accusé, le juge fixant également une somme provisoire de 5 mille euros – le reste de l’indemnisation étant à définir au civil. – en faveur de la femme, partie civile par l’intermédiaire de l’avocate Ludovica Rachele Marchione. Concernant les événements du 24 décembre dernier, l’homme de 48 ans avait attendu le retour de son épouse du travail pour se plaindre, comme il le faisait souvent, du désordre qui régnait dans la maison. Mais des paroles, il passa rapidement aux actes, la frappant violemment d’un coup de poing au côté gauche – à la suite de quoi la pauvre fille souffrit de fractures de côtes jugées guérissables en trente jours par les médecins de l’hôpital de Terni – et s’en prenant ensuite à ses enfants, notamment la jeune fille de 16 ans qui a été frappée avec une vitre puis frappée au visage. Peu de temps après, la police est arrivée, a immobilisé l’homme et l’a emmené au commissariat où il a été arrêté. Les enquêtes ultérieures ont révélé des années de mauvais traitements, notamment envers son épouse, qui ont commencé quelques années après le mariage. Un jour, la femme, après avoir porté plainte, a abandonné sa plainte dans l’espoir que son mari puisse changer de comportement. Mais tel n’a pas été le cas, à tel point que les accusations de mauvais traitements formalisées par le parquet – en la personne de la procureure Giulia Bisello qui a fait accepter la demande de condamnation par le juge d’instruction – ont abouti à des faits et des épisodes qui ont leur des racines dans le temps, qui se produisaient même lorsque le couple vivait à Campomaggiore et que l’homme se mettait en colère, cassant même des meubles et des meubles. C’est ainsi qu’ont émergé les menaces de mort, portées avec un couteau et pointées sur elle avec un pistolet – lors de son arrestation, l’homme s’est fait confisquer deux tapettes à chien, dont une sans bonnet rouge – mais aussi de la défigurer à l’acide si elles avaient donné suite à leur volonté de séparé. Un contexte fait de viols, de coups, d’insultes également envers ses enfants, qui ont abouti à l’arrestation et donc à la sentence du procès dans lequel l’homme de 48 ans a été défendu par l’avocat Daniele Ciuffoletti.

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