Ancône, future DS : prenez Faggiano. Le manager des Pouilles en termes de compétences (et pas seulement) a le profil idéal pour viser haut

Ancône, future DS : prenez Faggiano. Le manager des Pouilles en termes de compétences (et pas seulement) a le profil idéal pour viser haut
Ancône, future DS : prenez Faggiano. Le manager des Pouilles en termes de compétences (et pas seulement) a le profil idéal pour viser haut

Commençons par les faits : le profil du nouveau directeur sportif d’Ancône sera défini prochainement. En effet, cela a été le sujet de discussion lors du récent sommet de Hong Kong, qui a vu comme protagonistes le président Tony Tiong et la PDG Roberta Nocelli. Jusqu’à présent, par la force des choses, nous sommes restés dans le domaine des hypothèses. Dans le jeu d’été lié au toto-nome, bon pour toutes les occasions et aussi pour le directeur sportif, il y en a un qui domine les autres. Un rêve interdit (mais peut-être pas tellement si l’on analyse les différents facteurs), très difficile à réaliser, qui a pourtant des bases concrètes sur lesquelles reposer : Daniele Faggiano.

Suggestion sans pourcentages

Une variable folle par rapport aux noms déjà apparus – certains évalués, d’autres proposés, d’autres encore juste évoqués – et en tout cas digne d’appréciation des différents Davide Mignemi (actuellement à Gubbio), Fabio Lupo, Armando Ortoli, Josè Cianni , Massimo Taibi et enfin Paolo Giovannini ont démissionné d’Arezzo mais se sont dirigés vers Livourne. Faggiano, avec un passé important entre la Serie A et la Serie B, est la suggestion classique sans pourcentages. L’événement inattendu qui peut faire sauter la banque. Pour le moment, après sa dernière expérience à la Sampdoria, le directeur sportif des Pouilles de Copertino ne s’est pas encore installé. De nombreuses équipes sont sur ses traces, c’est naturel. Pourquoi devrait-il choisir Ancône dans ce scénario hypothétique ? D’abord pour l’envie de se remettre en selle puis pour la relation étroite et fraternelle avec Monsieur Boscaglia. Ce sont eux, ensemble, entre 2012 et 2015, qui ont construit le « Miracle de Trapani ». L’épopée du club sicilien mené jusqu’en Serie B et la Scala de football de San Siro pour un huitième de finale de la Coupe d’Italie contre l’Inter (perdu de peu 3-2) est entrée dans l’histoire. Faggiano a commencé sa carrière de manager à seulement 25 ans, se testant dans les hauts lieux de l’amateurisme des Pouilles comme Manduria, Brindisi, Grottaglie et Noicattaro. Développer des contacts importants entre professionnels. En 2007, il entre dans l’orbite de Bari en étudiant au “Liceo Classico” Giorgio Perinetti, son professeur et mentor. En tant que directeur sportif, outre Trapani, il a embrassé les causes de Sienne, Palerme, Parme, Gênes et Sampdoria. Les promotions obtenues, les exploits (Trapani et Parme surtout), les déceptions accumulées, les entraîneurs avec lesquels il a travaillé côte à côte (Antonio Conte et Roberto De Zerbi pour n’en citer que quelques-uns), les joueurs découverts (Federico Dimarco et Alessandro Bastoni , là aussi les deux premiers qui viennent à l’esprit, piliers du champion italien de l’Inter). Nous sommes en présence d’une personne prédestinée pour qui la Serie C, si ce n’est avec un projet d’une énorme profondeur ou avec une motivation capable de surmonter les barrières de la rationalité, est plus qu’étroite.

Boscaglia, une relation intense

La relation entre Faggiano et Boscaglia a été, au fil du temps, intense. Fait d’union d’intentions, de collaboration, de batailles menées. Mais aussi de diversité de points de vue, de discussions, de moments de froid. Ensuite, comme cela arrive souvent dans ces situations, le professionnalisme et le professionnalisme des deux émergent. Si le grand couple du miracle Trapani pourra ou non se reconstituer à Del Conero, seules les prochaines semaines pourront nous le dire. Dans le cas contraire, ce bavardage sera classé comme un simple fantasme du début de l’été. Au contraire, avec un résultat positif, un nouveau point culminant s’ouvrirait. Avec une saveur forte et enivrante. L’envie de rêver que chaque fan espère revivre au plus vite. Surtout après une saison dure et mouvementée comme celle que nous venons de vivre.

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