“C’est pourquoi les touristes nous choisissent”

Le rôle d’Ancône comme levier pour un tourisme et un développement de qualité. Les grands attracteurs : de Loreto aux grottes de Frasassi (qui continuent de battre des records de fréquentation), dans la province, d’Urbino (dont le centre historique est inscrit au patrimoine mondial) à Pesaro (Capitale de la Culture 2024), en dehors des frontières doriques. Les beautés naturalistes : côte, arrière-pays, Sibillini. Mets et vins, plus qu’appréciés par les étrangers. Et il s’avère également que les événements attirent, pour diverses raisons, 12 pour cent des personnes dans les Marches (le double de la moyenne nationale). Ce sont quelques-uns des aspects qui ont émergé de la conférence promue par Qn Distritti et qui, hier, s’est arrêtée dans la capitale, à la Loggia dei Mercanti. Plus de 40 intervenants, représentants institutionnels, catégories, parties prenantes et opérateurs, ont discuté lors des tables rondes animées par Andrea Brusa, directeur du Resto del Carlino-Ancona, et Alessandro Caporaletti, rédacteur en chef du bureau central du Resto del Carlino-Ancona. Carlino. Le projet a été réalisé en collaboration avec la Chambre de Commerce des Marches, la Commune d’Ancône, Luiss, le patronage de la Région des Marches et le soutien de Bper Banca.

De nombreux clochers, dans la seule région plurielle d’Italie, qui ont renforcé une identité au fil du temps. De nombreux clochers cependant qui doivent mieux communiquer pour envisager un développement qui tienne ensemble les différentes particularités, un point fort, pour valoriser l’ensemble du territoire. D’autre part, ceux qui viennent dans les Marches veulent vivre des expériences authentiques, orientées vers des formes de tourisme de plus en plus durables et matures. Et donc, pour le gouverneur Francesco Acquaroli, “il y a une prise de conscience généralisée, grâce aux investissements réalisés, qui amène notre région à émerger et à vouloir investir encore plus”.

Ce n’est pas un hasard si le Plan stratégique pour le tourisme dispose d’un budget de 60 millions d’euros. Et la stratégie a été illustrée par Marco Bruschini, directeur de cette Atim qui agit comme bras opérationnel du Palazzo Raffaello pour le tourisme : « Tout d’abord, en créant une marque ombrelle Let’s Marche, nous avons affirmé la conscience des Marches d’être une destination touristique. pour le promouvoir sur les marchés. Et deuxièmement, grâce à la nouvelle campagne de communication “Mer et montagne”, nous expliquons que venir ici signifie éliminer le problème du choix”.

Sans ignorer les données. Et celles pour 2023, élaborées par l’Institut national de recherche touristique, sont indicatives : on vient ici non seulement pour les événements, mais aussi pour la culture, la mer, le rapport qualité-prix et le professionnalisme des opérateurs. Mot clé, désaisonnalisation. Viser les marchés les plus dépensiers et, pourquoi pas, ces flux en constante augmentation. Comme ceux liés au tourisme religieux. Pensez à Loreto, destinée à être peuplée de pèlerins du monde entier : « Nous devons être prêts pour le Jubilé de 2025, une grande opportunité de faire connaître une terre spirituelle et belle comme la nôtre », a rappelé Mgr Angelo Spina.

L’autre aspect qui va de pair avec le tourisme est la nécessité de surmonter l’isolement infrastructurel. Un exemple : les efforts menés à l’aéroport permettent une relance notable. Ceci est confirmé par “30 pour cent de passagers en plus au premier trimestre de l’année, par rapport à la même période de l’année dernière”, selon la voix d’Alexander D’Orsogna, PDG de l’aéroport international d’Ancône. Parmi les présents figuraient également les maires d’Ancône, Daniele Silvetti et Fermo, Paolo Calcinaro, les conseillers régionaux Chiara Biondi et Francesco Baldelli, les honorables Guido Castelli, Lucia Albano et Gianluca Caramanna et le président de l’Autorité Vincenzo Garofalo, ainsi que des hommes politiques de la région des Marches, des universitaires, des entrepreneurs et des associations.

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