Salerne, Coscioni suspendu chez Ruggi un remplaçant pour 6 mois : il y a la résolution de l’entreprise

La procédure pour remplacer, pro tempore, le chef du service de chirurgie cardiaque Enrico Coscioni a été lancée. L’hôpital universitaire approuve la résolution de mission…

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La procédure pour remplacer, pro tempore, le chef du service de chirurgie cardiaque Enrico Coscioni a été lancée. L’hôpital universitaire approuve la résolution d’attribuer le rôle, pour six mois, éventuellement renouvelable, de diriger le service de Torre Cuore, après la suspension pour un an de l’activité médicale du professionnel de Salerne et des membres de son équipe pour le décès d’un patient dans les artères duquel une gaze laissée en salle d’opération a été trouvée. Le parquet avait demandé que le professeur de chirurgie cardiaque soit assigné à résidence, mais cette demande n’a pas été acceptée par le juge d’instruction, estimant que l’interdiction seule aurait empêché le médecin de répéter des comportements illicites et de contaminer les preuves. Mais l’autre jour, les juges de la Revue a rejeté l’appel du procureur contre la décision du juge d’instruction de ne pas suspendre, comme l’avait demandé l’autorité chargée de l’enquête, Enrico Coscioni de ses fonctions de président d’Agenas, l’agence nationale des services régionaux de santé. Une décision, celle des juges de révision, qui se heurte à celle prise la semaine dernière seulement par le Conseil des ministres, sur proposition du ministre de la Santé Orazio Schillaci, de suspendre l’ancien chef duCompagnie hospitalière de San Giovanni di Dio et Ruggi d’Aragona de la position prestigieuse. Un arrêt justifié car «les accusations, bien que toujours sous contrôle du magistrat, apparaissent – est-il écrit dans le décret – d’une telle gravité qu’elles nuisent à l’image non seulement de l’Agence nationale des services de santé dont il est président mais, en par rapport aux compétences multiples et importantes qu’exerce cette agence, de l’ensemble du secteur de la santé publique” et puisque Coscioni “est accusé non seulement de graves erreurs dans l’exercice du professionnalisme médical, qui ont conduit à la mort d’un patient, mais aussi de la délit de contrefaçon et aggravation idéologique”. D’où l’arrêt “jusqu’à la date de règlement du procès pénal et, en tout état de cause, jusqu’au 28 octobre 2024”. La décision du Conseil des Ministres devra être entérinée lors de la prochaine réunion du Conférence État-Région, ce qui devrait être dans quelques semaines. Un acte qui, selon certaines rumeurs, ne devrait être que formel. Par conséquent, une fois ratifié, il deviendra exécutif. Mais sur ce sujet, un affrontement politique très dur a lieu depuis février, mené par le centre-droit contre le plus fidèle du gouverneur De Luca (son ancien conseiller en santé et ancien conseiller régional à position civique deluchienne). L’affaire tourne autour du décès d’un homme de 62 ans qui a été opéré à Ruggi par une équipe dirigée par Coscioni. D’où la plainte de la famille qui a conduit, au cours de l’enquête, à l’exhumation du corps, au cours de laquelle une gaze de 15 cm a été retrouvée, immédiatement saisie par la police en même temps que le dossier médical.

Puis en février l’avis de garantie et la suspension d’activité pour le médecin de Salerne. Le « décompte » de la gaze ne correspondait pas, mais rien ne ressortait des investigations instrumentales effectuées. En effet, même lors de l’autopsie réalisée sept mois après le décès dul’entrepreneur Umberto Maddolo, il n’a pas été facile de retrouver la gaze “oubliée” dans le corps du 62 ans de Montecorvino Rovella, décédé peu de temps après une opération cardiaque. Ce n’est qu’après l’examen des organes qu’il a été possible de retrouver la gaze. Avec Coscioni, les médecins de son équipe ont également été interdits : neuf mois pour Gerardo Del Negro (chirurgien cardiaque) et Pietro Toigo (anesthésiste) ; six mois pour Francesco Pirozzi (chirurgien cardiaque) et Aniello Puca (chirurgien vasculaire).

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