Sécurité, 50 nouvelles caméras sont nécessaires pour couvrir toutes les zones grises de la ville

Sécurité, 50 nouvelles caméras sont nécessaires pour couvrir toutes les zones grises de la ville
Sécurité, 50 nouvelles caméras sont nécessaires pour couvrir toutes les zones grises de la ville

PORDENONE – Il y a encore du travail à faire. Oui, parce que si c’est vrai ça la zone urbaine est dotée d’un vaste réseau de caméras liées à la fois à la protection et à la sécurité, ainsi qu’au contrôle de la circulation, il faut immédiatement dire que même si plusieurs ont été remplacées au cours des deux dernières années, le nombre global et la qualité de plusieurs ne sont pas du tout satisfaisants. Au total, 105 caméras étaient installées et fonctionnaient dans la ville fin 2023, soit bien plus qu’en 2020, où le nombre total était de 88. Selon une estimation basée sur il en faudrait au moins cinquante autres dans les zones grises non encore contrôlées à Pordenone, le tout de dernière génération, haute définition et que l’image soit claire et nette même la nuit. Cela signifie un coût qui peut aller de trois mille à dix mille euros par caméra, en fonction de l’optique, de la distance de prise de vue et de la capacité d’avoir une vision claire. Ensuite, ils doivent également être montés et connectés au panneau de commande. Et voici le deuxième problème. La salle de contrôle n’est actuellement pas adéquate pour pouvoir ajouter d’autres écrans de visualisation, en plus du fait qu’il faudrait plus de personnel pour travailler sur ce service.

VIEUX OUTILS

Il est vrai, comme nous l’avons mentionné, que les plus anciens ont déjà été remplacés, mais il est tout aussi vrai qu’il existe actuellement dans différents quartiers de la ville au moins quarante appareils qui ne sont plus adaptés au service de contrôle parce qu’ils ont une vision qui – de de loin – en fait, ils sont de peu d’utilité, tout comme ils sont presque inutiles la nuit bien qu’ils aient été garantis avec possibilité d’infrarouge. Après tout, ce secteur est en constante évolution.

LA DEMANDE

Les demandes émanant d’autres forces de l’ordre, des carabiniers, de la police et de la Guardia di Finanza, pour pouvoir visualiser les caméras de la municipalité, le seul organisme disposant d’un réseau étendu, pour mener des enquêtes ou effectuer des contrôles, se multiplient également. Si en 2020 il y a eu plus ou moins 145 demandes de visionnage, l’année dernière il y en a eu plus de 160. Il serait très intéressant de savoir dans combien de cas l’utilisation des caméras a été déterminante pour clôturer positivement une enquête (vol, bagarres, vandalisme) mais ce sont des données qui ne sont pas fournies, même si les connaisseurs expliquent que le succès d’une enquête le recours à la vidéosurveillance s’arrête de 5 à 7 pour cent (en général), à la fois en raison de l’âge du système et du fait que souvent la caméra ne fonctionne pas, et parce qu’une partie substantielle de ceux qui commettent des délits sont désormais pris en compte compte faire quelques contrôles sur la vidéosurveillance dans la zone.

LE SOMMET

Il n’en reste pas moins que le commandant de la police municipale Maurizio Zorzetto, après avoir organisé le commandement et élargi de manière significative la tâche et la présence de ses agents dans la ville (et à Cordenons), aurait déjà fait prendre conscience à l’administration de la nécessité de donner un rôle plus substantiel structurer le circuit urbain de vidéosurveillance, en continuant à changer ceux qui sont désormais trop anciens et peu utiles et en en plaçant de nouveaux dans les sites où ils manquent encore. Un point que l’administration municipale, sensible à la sécurité, aurait déjà placé parmi les prochaines priorités, également à la lumière du fait qu’actuellement il n’y a pas un jour où à Pordenone, entre vandalisme, bagarres entre étrangers et zones à risque, il n’y ait pas quelques interventions à faire.

LES AMENDES

Il est certainement vrai que le fait d’avoir complété l’effectif des agents de la police municipale de Pordenone nous a permis d’avoir plus de monde dans les rues et donc de mieux contrôler la circulation et le stationnement dans la ville. Il n’en reste pas moins que la progression du nombre d’amendes qui ont rapporté en 2023 un million d’euros supplémentaire à la Commune est impressionnante. En 2020, les signalements étaient de 14.201, l’année suivante 15.296, en 2022 ils sont passés à 18.827 pour arriver, incroyable, à 40.127 l’année dernière. par rapport à une augmentation globale des heures de travail de l’ensemble des forces de police locales d’environ 7 500 heures. Un signe évident qu’une grande partie du « sale boulot » (c’est-à-dire les amendes) était effectuée par les « gardiens du parking », c’est-à-dire les hommes du GSM qui avaient la dispense préfectorale pour pouvoir délivrer les amendes. Dernières données. Les signalements de citoyens par courrier électronique ont diminué en 2023 pour atteindre 1 900, contre 3 726 il y a trois ans.

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Le Gazzettino

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