En Toscane et en Émilie-Romagne, l’accueil est plus réparti entre les différentes communes

En Toscane et en Émilie-Romagne, l’accueil est plus réparti entre les différentes communes
En Toscane et en Émilie-Romagne, l’accueil est plus réparti entre les différentes communes

Si un territoire parvient à répartir les centres dans toutes ses communes, ou presque, l’accueil aura un moindre impact sur la communauté d’accueil, facilitant l’intégration des hôtes et évitant la formation de « ghettos ». Cependant, il n’existe que 29 provinces dans lesquelles la réception est répartie dans au moins la moitié des communes. Dans 6 d’entre eux en particulier, ce chiffre dépasse 80 %. En premier lieu on trouve Prato où toutes les communes hébergent au moins une structure. Cette province est cependant composée de seulement 7 communes, les données sont donc moins significatives par rapport à des cas comme Florence, où les communes concernées sont 38 sur 41 (92,7%), ou Reggio Emilia, avec 38 communes sur 42. (90,5 %). Viennent ensuite Raguse avec 83,3% (10 communes sur 12), Pistoia et Brindisi avec 80% (16 communes sur 20).

Par « communes concernées par les projets d’accueil », nous entendons les territoires communaux au sein desquels des structures d’accueil ont été activées, qu’il s’agisse de centres préfectoraux (premier accueil et CAS) ou de centres de compétence communaux (Sai). Les centres actifs au 31 décembre 2022 ont été pris en compte.

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