«J’ai une dizaine de noms en tête pour l’après Zaia»

«Ils ne voulaient pas passer le troisième mandat, ce qui, je pense, est juste si un administrateur a bien fait. Seulement le Ligue il le voulait. J’en prends note. Pour le après Zaïa j’en ai déjà un en tête dizaine De des noms, des hommes et des femmes capables de faire avancer la bonne administration de cette région. L’après Zaia pourrait aussi être le nom d’une femme. La Ligue a d’excellentes personnalités et d’excellents administrateurs. » Le ministre de l’Infrastructure et secrétaire de la Ligue a déclaré ceci Matteo Salvini qui a participé au 95ème Rassemblement Alpin qui a eu lieu dimanche à Vicence. Le leader du parti a révélé qu’il avait un certain nombre de cartes à jouer en prévision de la fin du mandat de l’actuel président de la Région Vénétie.

Les “pables” de la Ligue du Nord.

La question de la succession n’est certainement pas d’hier. Depuis un certain temps, le parti s’interroge sur les noms qui pourraient être utilisés pour un éventuel maintien de l’administration dans la région. Le nom du maire de la Ligue du Nord circule Mario Contéqui administre Trévise pour le deuxième mandat et préside Anci Veneto, ou celui du secrétaire régional du Carroccio Alberto Villanova. Mais parmi les candidats susceptibles de se présenter au Palazzo Ferro Fini, il y a aussi celui de Roberto Ciambetti, membre de la Ligue du Nord de Vicence pour la deuxième fois président du Conseil régional de la Région. Sans compter Massimo Bitonci, sous-secrétaire au ministère de l’Entreprise et du Made in Italy : l’ancien maire de Padoue – entre 2014 et 2016 – fait partie du potentiel “plan B” de la Ligue du Nord. Et les prénoms féminins ? L’une vient certainement de Vicence : c’est celle de l’ancien ministre de Vicence Erika Stefanipropriétaire des autonomies régionales dans le gouvernement Conte I.

L’homme fort de Meloni et le montagnard Tosi

Parallèlement, le parti du Premier ministre, les Frères d’Italie, n’a pas caché sa volonté d’aller de l’avant. Luca De Carlo, l’homme fort de Giorgia Meloni en Vénétie, pour remplacer Luca Zaia à la tête de la Région. Sans oublier Forza Italia : en Vénétie, il est dirigé par l’ancien membre de la Ligue du Nord Flavio Tosi, maire de Vérone pendant deux mandats et déjà candidat contre Zaia en 2015, un véritable « montagnard » politique qui a accompli à lui seul un exploit capable de ressusciter un parti réduit à ses plus bas mandats dans la région de Vénétie. Celui qui l’a mentionné sous “Région Vénétie” n’était autre que Antonio Tajani. Si ce n’est pas une approbation.

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