POZZUOLI/ Les concessions des plages ont expiré «Les plages de Lucrino, Arco Felice et Licola illégalement occupées» – LES PHOTOS – Cronaca Flegrea

POZZUOLI/ Les concessions des plages ont expiré «Les plages de Lucrino, Arco Felice et Licola illégalement occupées» – LES PHOTOS – Cronaca Flegrea
POZZUOLI/ Les concessions des plages ont expiré «Les plages de Lucrino, Arco Felice et Licola illégalement occupées» – LES PHOTOS – Cronaca Flegrea

POZZOULES – «Hier après-midi, avec le « Coordinamento Flegreo Mare Libero », nous sommes allés faire une inspection sur le tronçon de côte Arco Felice-Lucrino. Au mépris de la loi, les plages continuent d’avoir des parasols sur la plage. Malgré les concessions expirées et l’interdiction de prolongation, il y a toujours des activités dans les bars, restaurants et événements. Ce dont j’ai déjà fait part il y a quelques semaines au Secrétaire Général, à la profession juridique et aux bureaux compétents. – C’est ce que dit le conseiller municipal d’opposition Riccardo Volpe – Une fois la concession expirée, comme si de rien n’était, ils louent des parasols, des maisons, organisent des événements, des restaurants, des mariages. À tout cela s’ajoutent des dégradations (que la propriété privée aurait dû nettoyer une fois la concession terminée) et des abus sur la plage. »

LA PLAINTE – « Et la Municipalité ? Il fait semblant de ne pas voir. La politique fait semblant de ne pas voir et les bureaux font semblant de ne pas voir ou d’entendre. J’ai déjà demandé une série de documents, liés aux permis de construire des structures situées sur la plage de Licola Mare et à tous les titres d’autorisation (permis de construire, autorisations paysagères, concessions de l’État) de toutes les plages de la côte Arco Felice – Lucrino. Rien. Silence. – continue Volpe qui porte une plainte détaillée sur ce qui se passe non seulement à Lucrino et Arco Felice mais aussi à Licola – La direction habituelle et le manager habituel ne m’envoient pas les documents. Hier encore, j’ai lancé un nouvel appel à la Commission pour l’accès aux documents administratifs de la présidence du Conseil des ministres. Dans le passé, j’en ai déjà envoyé deux, et les deux ont été acceptés, condamnant l’organisation à me fournir dans les plus brefs délais les documents que j’avais demandés. Faire semblant de ne pas voir ou d’entendre ne résoudra pas le problème. Les plages doivent être dégagées et des avis émis. Cette situation d’illégalité généralisée est impensable. »

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