Mascarin, Serfilippi a de nombreuses pertes de mémoire en matière de santé

Mascarin, Serfilippi a de nombreuses pertes de mémoire en matière de santé
Mascarin, Serfilippi a de nombreuses pertes de mémoire en matière de santé

Les déclarations d’aujourd’hui de Luca Serfilippi sur le présent et l’avenir des soins de santé à Fano nous laissent stupéfaits par leur incohérence et leur mystification.

Le candidat de droite à la mairie affirme que la région des Marches a fourni 20 millions d’euros pour l’hôpital de Fano, mais évite soigneusement de dire que des investissements d’environ 204 millions d’euros sont prévus pour le nouvel hôpital réduit de Pesaro. Et ce malgré le fait qu’en 2022, les accès aux urgences de Fano étaient plus élevés que ceux des urgences de Pesaro.

Des omissions qui ne surprennent pas : après tout, après l’initiative de la municipalité de Fano de faire appel au TAR pour contester les décrets-avis de la Région des Marches, publiés fin 2023, qui reconnaissent 80 lits dans la clinique privée de Pesaro. , le candidat et conseiller régional Serfilippi a littéralement disparu et ne répond à aucune des demandes qui lui sont adressées publiquement sur cette question et notamment sur les 50 postes de santé publique à Fano dont les traces ont curieusement été perdues.

La vérité est qu’en quatre ans, le gouvernement de droite de la région des Marches n’a pu faire que des plaisanteries et de la propagande alors que la santé publique est de plus en plus faible et Fano, en particulier, est de plus en plus pénalisée par les nouvelles stratégies régionales. Il est clair également que les contradictions entre les systèmes de santé d’Ancône et de Pesaro pénalisent Fano. Il est clair que la droite – il suffit de penser aux choix récents en matière de soins de santé privés – est en faveur de Pesaro. Ce sont les résultats d’une politique de santé destinée uniquement à la clientèle locale.

Santa Croce doit au contraire pouvoir investir à nouveau, notamment dans le diagnostic spécialisé et ambulatoire. Il faut soutenir fortement les services de conseil, qui sont en train de s’effondrer (UMEE et UMEA, addictions pathologiques, centre de santé mentale, …). Il faut investir dans les soins de santé de proximité et à domicile. Bref, il faut donner la priorité à la santé publique et le dire sans les ambiguïtés qui caractérisent les déclarations à la fois péremptoires et vides de Serfilippi.

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