Breaking news
le bulletin de demain jeudi 13 juin -

Reggio de Calabre, la zone des murs grecs nettoyée

Reggio de Calabre, la zone des murs grecs nettoyée
Reggio de Calabre, la zone des murs grecs nettoyée

La zone des brillances Des murs grec De Reggio de Calabre, grâce au nettoyage effectué par l’administration communale. Les nombreux touristes présents dans la ville ces dernières semaines, grâce à l’arrivée des vols Ryanair à Tito Minniti, pourront ainsi mieux apprécier l’un des plus beaux sites de la ville, véritable témoignage de la Grande Grèce.

Sur le Front de mer de Falcomatà il est possible de profiter de la beauté du tronçon de muraille hellénistique de la ville Reggio, clôturée par un portail en fer forgé. Même si on l’appelle “grec», ces murs sont en réalité le résultat du circuit des remparts de la ville qui a été restauré d’innombrables fois au fil du temps, notamment après le violent tremblement de terre de 1783.

La structure originale

Construits en briques cuites dont il ne reste presque aucune trace, les murs reposent sur des fondations en pierre tendre locale. L’enceinte de la ville était constituée d’une double courtine dont les vides étaient remplis de terre et de gravats et sur laquelle était élevée la muraille proprement dite, réalisée avec des blocs isodomiques de grès local, disposés en deux rangées parallèles avec des sections perpendiculaires.

Les différentes hypothèses sur la date de construction

« À des fins de datation, les fragments de céramique ancienne trouvés dans les briques ne sont pas utiles pour établir un moment historique précis. L’hypothèse la plus probable est qu’il s’agissait de murs construits après le milieu du IVe siècle avant JC, lorsque Denys II reconstruisit la ville de Reggio sous le nom de Febea, la ville de Phoebus Apollon – lit-on sur le site tourisme.reggiocal.it – La Surintendance Archéologique a émis l’hypothèse que, dans le circuit des murailles de Reggio Emilia, les murs en briques crues datent de l’époque du tyran Anassila (Ve siècle avant JC), tandis que ceux en briques cuites sont à attribuer au tyran Denys II, qui est resté à Reggio seulement entre 356 et 351 avant JC. D’autres chercheurs pensent au contraire que les murs, tels que nous les connaissons, datent tous de la dernière partie du IVe siècle. J.-C., témoignant des interventions de Denys II, de la République Reggina et du roi Agathocle”.

CONTINUER LA LECTURE SUR CITYNOW

PREV «Le changement n’est qu’à un pas. Florence mérite plus
NEXT Milan, voici le protégé de Fonseca : il coûte 18 millions