Trento Interport, 25 millions sont nécessaires pour de nouvelles voies plus longues et « plus rapides » : qui les y mettra ? – Nouvelles

Trento Interport, 25 millions sont nécessaires pour de nouvelles voies plus longues et « plus rapides » : qui les y mettra ? – Nouvelles
Trento Interport, 25 millions sont nécessaires pour de nouvelles voies plus longues et « plus rapides » : qui les y mettra ? – Nouvelles

TRENT. Au total, 1.785 trains ont « fonctionné » (une cinquantaine de plus qu’en 2022), mais aussi 90.000 tonnes de marchandises ont été déplacées en moins. C’est le bilan quantitatif d’Interbrennero, la société contrôlée par la Province (elle détient 63,01 pour cent du capital sur une part publique de 87,32 pour cent) qui gère l’interport de Trente.

D’un point de vue chiffré, cependant, les opérations de 2023 ont abouti à une valeur de production de 3,2 millions d’euros avec un bénéfice de 592 mille.

« 2023 n’a pas été une année facile », telle est la prémisse du président Roberto Bosetti, au cours de sa première année de mandat. Le déclin du travail cela a été enregistré surtout dans la deuxième partie de l’année, mais l’objectif de 2 mille trains n’a pas été atteint. D’une part, le service de réception et de déchargement des trains en provenance du sud s’est poursuivi, transportant des fourgons destinés à l’exportation vers le nord de l’Europe et principalement utilisés dans la préparation des camping-cars et, en effet, avec la naissance du groupe Stellantis (FCA et Peugeot ) les véhicules des quatre marques convergent désormais à Trente : Fiat, Opel, Citroën et Peugeot pour une moyenne de 5 paires de trains par semaine.

La crise du secteur papetier a toutefois réduit les besoins en approvisionnement des usines de papier en activité dans la province. «En outre – explique Bosetti – le service intermodal traditionnel avec MSC, une entreprise internationale dédiée au transport maritime de conteneurs, des 5 paires de trains initiales par semaine, a enregistré dans la seconde moitié de l’année une contraction à 3 paires de trains par semaine. semaine”.

«En tout cas – continue Bosetti – l’interport de Trente est devenu un centre attractif et indispensable de services et de soutien aux entreprises du territoire régional et nous sommes convaincus que le tissu entrepreneurial local est en mesure d’exprimer une demande de transport intermodal bien supérieure et performante. d’exploiter pleinement le potentiel des infrastructures disponibles aujourd’hui”.

Les 1.785 trains chargés et déchargés dans le nord de Trente restent donc inférieurs à un tiers par rapport aux 6.715 de 2011., année d’exploitation maximale de l’ouvrage. Un déclin causé en grande partie par la contraction de l’exploitation de la Ro.La., l’autoroute reliant Trente à Wörgl (au Tyrol, à la frontière avec l’Allemagne), qui devrait également être un outil pour contourner les interdictions sur le territoire autrichien.

Lors de l’assemblée Interbrennero, la Province, à travers le directeur général avec délégation au Corridor du Brenner Roberto Andreattaest revenu pour affirmer que – en attendant l’achèvement du tunnel de base – pour que l’objectif de retrait des camions de l’autoroute Ro.La soit efficace, il faut le ramener au moins aux chiffres de 2011 : 15 paires de trains par jour , alors qu’aujourd’hui il n’y en a qu’un.

RCÖ (Rail Cargo Österreich) organise en moyenne 25 trains par jour de Wörgl au Brennersee et vice versa, mais un seul jusqu’à Trente.

Aujourd’hui, à la lumière également de l’avis rendu l’autre jour par la Commission européenne sur les interdictions de transit, on espère que les Autrichiens, afin de retirer les camions de la route, se laisseront convaincre de prolonger la route jusqu’à Trente.

Interbrennero, quant à lui, fait son travail. D’une part, il a décidé l’achat de 3 nouvelles grues (1,8 million d’investissement, avec une contribution de l’État de 45% sur le Pnrr) et évalue un autre investissement de 500 mille euros pour équiper ses voies d’un système offrant de l’énergie pour alimenter les wagons réfrigérés de MSC, afin qu’ils puissent être utilisés pour le stockage (en attente de transport) de produits délicats des produits tels que des pommes.

Il attend en revanche que RFI lui livre la version finale du projet (échéance 28 juin). l’allongement des trois voies de 500 à 750 mètres. Cela réduira les temps de chargement/déchargement des camions des trains de 3 à 1 heure et rendra ainsi le Ro.La plus attractif. Un investissement estimé à 15 millions d’euros (10 de la Province, 5 de Rome) mais qui s’élève déjà à 25 millions.

Maintenant, le sujet est qui mettra les 10 millions pour que les travaux soient prêts pour début 2027. Il y a deux voies. D’une part, insérer ce chiffre dans le contrat-programme entre le ministère et RFI, “en tenant compte du fait – explique Andreatta – qu’il s’agit d’un travail stratégique non seulement pour le Trentin, mais pour tout l’axe du Brenner”.

L’autre hypothèse est que le projet sera financé par une augmentation de capital d’Interbrennero à signer par les membres. C’est pourquoi – compte tenu du fait que l’aéroport est une structure d’importance régionale – également par la province de Bolzano qui détient 10,56 pour cent de l’entreprise.

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