Terni, Staino : il y en a qui élèvent la voix. «Bandecchi sait? Vous détruisez le vert pour ne pas rattraper vos erreurs”

17 mai 2024 10h29

Le sujet est connu depuis des années et certains élèvent désormais la voix pour exprimer leur opposition à cette évolution. Il s’agit de Tac Costruzioni srl de Pérouse – représentant légal Alberto Brocani -, une des entreprises qui ont récemment déménagé au TAR pour contester la variante au Prg à l’époque Latini. Puis révoqué par l’administration Bandecchi. Eh bien, que s’est-il passé ?

de Tac Costruzioni srl

Le maire sait-il que la Commune de Terni préfère détruire des hectares de verdure dans le centre pour ne pas remédier à ses erreurs urbanistiques, préjudiciables à l’ensemble de la communauté ?

JANVIER 2022, LE CONSEIL LATINI ET LA VARIANTE STAINO
MAI 2022, APPEL AU TAR POUR LA VARIANTE : TAC COSTRUZIONI ET SMILE

L’entreprise horticole Brocani est présente dans la région de l’Ombrie depuis 1894, date à laquelle le fondateur Antonio Brocani a décidé d’ouvrir également un point de vente dans la région de l’Ombrie. En 1956, l’entreprise se développe avec un nouvel établissement dans la ville de Terni, dans la zone « Vocabolo Staino » et dans les années 1970 elle s’agrandit avec l’activité de jardinage commercial. En 2002, Giampaolo Brocani, alors propriétaire, afin d’élargir l’activité commerciale, a adressé une demande à l’administration municipale représentant la nécessité d’agrandir le Jardin actuel avec un important développement d’emplois.

L’URBANISME PÉRENNIQUE ‘MARETTA’ POUR MOT STAINO

Le 28 février 2002, l’administration, par la résolution numéro 60 du conseil municipal, prenant note de la proposition présentée par la société Brocani, a décidé “… que le projet de restructuration de l’entreprise Brocani, dont le siège est à Staino, soit examiné et évalué au périmètre de la rédaction de Prg’. En 2004, le nouveau Prg a été adopté, qui cependant, en raison d’une erreur substantielle, a placé les volumes demandés par le Dr Brocani dans l’espace vert « en production de pépinières » dans la zone où existait déjà le bâtiment à agrandir et à réaménager.

JANVIER 2024, LE CONSEIL BANDECCHI RÉVOQUE LA VARIANTE

Les observations ont été présentées au Prg puis rejetées pour le motif suivant : “… la demande est en contradiction avec l’objectif du plan visant à réaliser l’achèvement définitif du parc municipal de Staino à travers le mécanisme de péréquation…”. En réalité, si le « véritable » objectif avait été réellement l’achèvement du parc municipal, le désir exprimé en 2002 par la municipalité d’inclure les volumes dans une pépinière de production centenaire n’aurait eu aucun sens, tandis que l’intention de nuire à l’entreprise en l’avantage hypothétique et apparent de la concurrence. Après des années de propositions qui n’ont jamais été acceptées, Brocani a été contraint de fermer une succursale de l’entreprise « le point de vente de jardinage » en raison de l’impossibilité de la rénover car elle était devenue obsolète avec le temps.

2023, PLAN DE CESSION : LO STAINO AWAY

En 2008, la situation urbanistique du parc/crèche Staino a été encore aggravée par une variante de l’adoption du Prg, qui a introduit la fourniture d’axes routiers importants tombant dans la zone des terrains de la pépinière de production. Confirmation supplémentaire que l’AP n’avait et n’a aucun intérêt pour la protection des espaces verts et/ou du soi-disant parc… ‘citoyen de Staino’… Brocani et ses sociétés font appel au TAR pour contester , en plus des dommages déjà subis, il y a aussi l’infaisabilité des programmes de construction en raison des nouvelles prévisions routières du plan.

2019, LA PLACE ENTRE CONSEILLERS SUR VOCABOLO STAINO

Des prévisions irréalisables en raison de l’incompatibilité altimétrique et des contraintes hydrauliques sous-jacentes, qui rendent le programme de construction impossible. En 2014 et 2015, après des années de concertation, deux solutions ont été avancées par les propriétaires qui semblent appréciées par l’administration, au point d’inciter les propriétaires à renoncer (par acte de confiance) au recours pendant devant le TAR ; après la renonciation, toutes les propositions ont été rejetées, à tel point que les activités de pépinière et de construction sont restées dans un vide sans fin. Le 31 juillet 2015, par la DGC 257, l’AP a formellement confirmé… « l’impossibilité des programmes de construction en mandatant les bureaux techniques pour élaborer une variante spécifique… ». La variante, bien que préparée par les bureaux techniques, n’est jamais parvenue à la mairie.

Le 31 janvier 2022, une modification a été adoptée par l’AP uniquement pour les zones Staino appartenant à la municipalité, laissant les zones « Brocani » confinées dans un vide éternel. Le 12 février 2024, l’administration, avec le Dcc 20, a révoqué la variante pour les quartiers de Staino, la jugeant impraticable et confirmant par des tableaux l’incohérence et l’insuffisance de l’urbanisme municipal. Après 20 ans, l’Autorité n’a pas été en mesure de remédier à l’erreur commise dans les zones de Brocani, empêchant la possibilité pour le bien de mettre en œuvre un sérieux plan de régénération urbaine avec la pleine satisfaction des intérêts collectifs proposés par les acteurs concernés.

Au cours des 20 dernières années, l’organisation a exigé et collecté d’importantes taxes sur la propriété en raison des droits de construction des zones, harcelant la propriété avec d’autres demandes de montants plus élevés provenant des évaluations annuelles de la base imposable jusqu’à atteindre les demandes pour l’année 2008. et 2009 à des bases imposables égales à environ 1 million d’euros, avec l’intention apparente d’accumuler des pénalités et des intérêts qui constituent notoirement le véritable « Core Business » des revenus de
Commun’.

Le 29 janvier 2024, la propriété, découragée par l’impossibilité évidente de faire valoir ses raisons en matière fiscale, est parvenue à un accord pour le
clôture des conflits des quinze dernières années en s’engageant à payer des impôts et pénalités supplémentaires en plus de ce qui est toujours et annuellement honoré, dans l’espoir de définir également l’erreur urbanistique.

Le 13 mars 2024, lors de la réunion tenue dans les bureaux municipaux, le bureau d’urbanisme (architecte Bedini) a réitéré en présence du parti politique le conseiller à l’urbanisme (ingénieur Iapadre) que les droits de construction doivent être exercés dans la zone. là où elle se trouve actuellement, la crèche est présente, confirmant effectivement la volonté de l’Autorité de détruire une crèche centenaire en raison de l’apparente incapacité des bureaux d’urbanisme et du parti politique à remédier à l’erreur commise au lieu de donner vie à une véritable régénération urbaine de une zone déjà compromise par la construction depuis 1956.

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