Ferrara, menacée et attaquée par un groupe de garçons pour les avoir fait quitter le magasin La Nuova Ferrara

Ferrara, menacée et attaquée par un groupe de garçons pour les avoir fait quitter le magasin La Nuova Ferrara
Ferrara, menacée et attaquée par un groupe de garçons pour les avoir fait quitter le magasin La Nuova Ferrara

Ferrare Attaqué pour des raisons insignifiantes par un groupe composé d’un groupe de garçons Et battu à mort. Il doit son salut à l’intervention prompte de sa nièce qui s’est mise à crier et à son frère qui lui est venu en aide. L’épisode grave s’est produit mercredi matin dans le magasin”La boutique Orange» situé dans la ville de via Rampari de San Rocco.

Voici l’histoire des mêmes opérateurs. Il était 7h30 lorsqu’Emilio Folda, 64 ans, propriétaire du magasin ouvert il y a dix-huit ans et qui vend des produits typiques calabrais, a invité un groupe composé de 7 à 8 jeunes qui à cause de la pluie, il se réfugiait sous l’auvent extérieur du commerce, à déplacer pour permettre l’ouverture du magasin. Comme les garçons n’ont pas mentionné le départ du propriétaire, pour tenter de les convaincre, il leur a dit qu’une fois le magasin ouvert, ils pourraient retourner sous l’abri. En réponse, Folda a écrit dans la plainte menacé et attaquéd’abord avec des poussées qui l’ont fait tomber au sol puis avec des coups de pied et des coups de poing qui ont provoqué des blessures et des blessures, notamment aux jambes. Le frèrequi était situé dans l’arrière-salle il est intervenu, avoir entendu les appels à l’aide de sa nièce, pour faire renoncer les assaillants et a été à son tour menacé par le groupe de jeunes vraisemblablement âgés de 16 à 18 ans vêtus de noir, qui ont renversé toutes les tables. L’un d’eux, se tournant vers le frère du propriétaire, a prononcé une phrase du type “C’est moi qui commande ici”. Après l’intervention du frère de la victime, les agresseurs ont abandonné et se sont éloignés.

Une patrouille de police est intervenue sur place Police d’État pour l’instruction de l’affaire par la suite pendant que le propriétaire présentait précisément plainte. Il apparaît que certains des enfants dont la version des faits ne correspond pas à celle du propriétaire sur plusieurs points ont déjà été interrogés. La zone est sous la surveillance de la police depuis un certain temps.

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